À Rennes, l’école d’ingénieurs CentraleSupelec est installée depuis 1972 sur une vaste parcelle aux portes du campus de Beaulieu. Deux autres grandes écoles, l’ENSAI et l’ENS Rennes vont s’y installer dans six ans. À la clé : un vaste projet d’aménagement qui tiendra compte de l’environnement exceptionnel du site. L’intégralité de l’article
Article de Xavier DEBONTRIDE publié par MapInfo
Depuis 2014, Produit en Bretagne part, chaque été, à la rencontre des vacanciers, Bretons d’un jour ou de toujours. A bord d’une camionnette totalement décorée en jaune et bleu, nos 2 supers animatrices sillonnent la Bretagne et ses 5 départements, pour venir à leur rencontre, lors de notre tournée estivale. 7 semaines ne sont pas de trop pour réaliser ce véritable tro breizh (tour de la Bretagne), qui fait étape dans plus de 31 villes en Bretagne chaque année. L’intégralité de l’article
Article publié par Produit en Bretagne
Créé par l’association vannetaise Clim’Actions Bretagne, le programme Clim’Impact s’étend sur toute la région, à destination des collectivités, des associations et des autres entreprises. Organisé autour de trois ateliers, Clim’Impact mobilise les acteurs du territoire pour les aider à engager des actions concrètes en faveur du climat. L’intégralité de l’article
Article publié par le pôle ESS Bretagne
Après le succès rencontré auprès du grand public en 2023, la 2ème édition du circuit touristique « Métiers d’art dans l’Ouest » voit le jour. Ce guide, réalisé par Creal Ouest, met en lumière plus d’une cinquantaine d’artistes et d’artisans d’Art à travers des galeries d’art, des boutiques de créateurs mais aussi des ateliers d’artistes ou encore des Tiers lieux. Répartis sur l’ensemble des départements bretons et un peu au-delà, ils font découvrir aux visiteurs leurs savoir-faire d’exception dans le secret de leur atelier. L’intégralité de l’article
Article de Véronique Maignant publié par Bretagne économique
L’association Wild Bretagne achète dans la région des parcelles, afin de « faire éclore des forêts sauvages ». Les terrains acquis deviennent ainsi des biens communs, sur lesquels la chasse, la coupe des arbres, la cueillette sont interdites, et le bois mort conservé. Laissés en « libre évolution », ces forêts deviennent ainsi des lieux privilégié pour la faune et la flore locale, qui y est préservée. Une façon aussi pour l’association d’amener à s’interroger sur les relations entre l’humain et le vivant, et notre lien au sauvage. L’intégralité de l’article
Article de Marie-Emmanuelle Grignon publié par Eco-bretons