L’entreprise bretonne Hemarina a développé des transporteurs d’oxygène issus de l’hémoglobine d’un ver marin, nommé arénicole. Sa molécule Hemo2life, qui possède une capacité oxygénante 40 fois supérieure à celle de l’hémoglobine de vertébrés, pourrait donc contribuer à sauver les malades victimes du syndrome de détresse respiratoire aiguë, caractéristique des cas graves du coronavirus.
Article de Stanislas du Guerny publié sur lesechos.fr