Pour les associations de défense de la langue bretonne, si l’on veut encore entendre parler breton dans la région, il faudrait former 5 000 nouveaux locuteurs par an, contre 500 actuellement. Dénonçant l’inaction du Conseil régional de Bretagne, elles ont établi un plan d’actions. Elles espèrent être entendues par les élus.
« Que la langue bretonne soit toujours en vie est un miracle. » C’est un véritable cri d’alarme que relaie Fulup Kere, directeur de DAO, centre de coordination des formations en langue bretonne.
Article de Philippe Créhange publié sur letelegramme.fr