Ces deux ports de commerce tournent au ralenti. Ils ont perdu plus de 50 % de leur trafic avec l’Angleterre depuis le début des confinements. Roscoff investit pour tenter de conquérir la clientèle irlandaise, Saint-Malo y réfléchit.
Les infrastructures terrestres sont prêtes, tant dans le port de Saint-Malo que dans celui de Roscoff, pour l’accueil des ferries et les contrôles douaniers obligatoires, mais c’est le calme plat. La compagnie Brittany Ferries, principale utilisatrice des installations, a stoppé ses activités entre le sud de l’Angleterre et ces deux ports bretons depuis la pandémie. Elles pourraient reprendre leur rythme quotidien le 22 mars prochain.
Article de Stanislas du Guerny publié sur lesechos.fr