Particulièrement actif en Bretagne, le groupe Fidal regroupe différents avocats d’affaires et juristes. Depuis longtemps convaincus de la nécessité d’avoir un ancrage territorial et des activités productives en Bretagne, la direction à la Mabilais (Rennes) est très volontairement complétée par d’autres antennes et implantations au plus près des acteurs économiques bretons, notamment à Brest, Quimper, Saint-Brieuc, Vannes, Lorient.
Dans le contexte actuel, ce maillage est déterminant d’autant que des aubaines apparaissent pour une relance davantage territorialisée, associer davantage les entreprises dans un contexte difficile, conforter aussi les points forts de l’économie bretonne qui s’individualisent dans la cyber sécurité, l’agro-alimentaire, la recherche, les services… C’est à ce titre que le groupe s’associe à ABF pour mieux informer et aider les entreprises à bénéficier des dispositifs actuels d’aides au développement. D’autant que ces mécanismes actuellement disponibles permettent de bénéficier de différentes aides et subventions, dans le cadre d’appels à projets.
A noter notamment le dispositif Résilience, actuellement disponible et déterminé à renforcer les investissements dans les unités de production, soit pour les moderniser, soit pour initier des procédés technologiques innovants : l’agroalimentaire, la santé, l’électronique et les TIC la fourniture des intrants essentiels à l’industrie (chimie, métallurgie et matières premières). Les acteurs et entreprises intéressés peuvent directement contacter le groupe Fidal (pièce jointe).
Ce qui est présenté comme une crise peut-être aussi perçu comme un tournant pour conforter l’originalité productive de la Bretagne.
A différents niveaux, la reterritorialisation est un élément central pour limiter les importations trop lointaines, conforter l’emploi et les dynamiques productives de la Bretagne.
Légende de la photo : Laurent Drillet, directeur régional de Fidal