Contrairement à une idée répandue, il est possible de produire de grands textes en corse, en breton ou en basque. La preuve par l’exemple.
Il est un paradoxe français qui m’étonne autant qu’il m’exaspère. Pourquoi, chez nos intellectuels et nos artistes, cet émerveillement devant les cultures et musiques du monde et ce mépris abyssal pour la diversité culturelle hexagonale ? Pourquoi cette admiration (méritée) devant Cesaria Evora et Ravi Shankar et ce désintérêt pour l’étrangeté sur notre propre sol ? La réponse tient en un mot : l’ignorance, et voici un livre qui permettra de la faire reculer.
Chronique de Michel Feltin-Palas publié sur lexpress.fr