Le 15 de juïllet 1900, vla ene fome a se chomer devant le cônè du fonografe a Léon Azoulay e la siene-la qe de debagouler ene defilonjée de sentences e de mots : « T’as mal à l’oraille, ta ? J’ai tombé ma. Je l’ai lavé avé de l’iao. » Les sentences-la gravées den la cire sont la pus vaille racontée en parlement berton de Haote-Bertègn. L’intégralité de l’article en gallo

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Le 15 juillet 1900, une femme se place devant le cornet du phonographe de Léon Azoulay et récite une liste de phrases et de vocabulaire : « T’as mal à l’oraille, ta ? J’ai tombé ma. Je l’ai lavé avé de l’iao. » Ces paroles gravées dans la cire sont le plus ancien témoignage oral de la langue bretonne de Haute-Bretagne. L’intégralité de l’article en français

Article de Tudi Crequer publié par  BCD Sevenadurioù (Bretagne Culture Diversité)