Perdu au cœur du lobby nucléaire, GRDF et son gaz vert tentent d’exister. En s’associant avec plusieurs festivals de musique, GRDF prouve que le gaz vert est non seulement écolo, mais favorable à une économie locale et circulaire. Les festivals ont pris l’habitude de communiquer sur leur éco responsabilité. Toujours plus verts, toujours plus responsables, toujours plus écolo. Et comme le rock est un gros consommateur d’électricité, chaque festival y va de son partenaire fournisseur d’électricité verte. Aujourd’hui, les enchères montent d’un cran. En Bretagne comme un peu partout dans l’ouest de la France, ces événements communiquent sur la valorisation de leurs déchets. L’intégralité de l’article
Article de Hervé Devallan publié par Bretagne Actuelle