17 pays structurent aujourd’hui la Bretagne. Ils isolent une géographie du présent associant l’histoire au fait urbain. A l’heure où les périmètres institutionnels sont de plus en plus opaques (les cantons, les E.P.C.I, les « P.E.T.R », …), ils sont les territoires de vie des habitants marqués par des réalités incontestables concernant les aires commerciales, la vie quotidienne, la réalité d’une forte appartenance, des journaux (Le Trégor, le journal du pays de Vitré), des clubs d’entreprises… Ils sont surtout les leviers pour unir les gens, dynamiser l’économie, lutter contre les déserts médicaux, créer des complémentarités souhaitées, planifier avec efficacité l’action d’ensemble.

Et si l’on renouait avec les pays ? Pas ceux, souvent trop petits, de la loi Voynet dans lesquels certaines métropoles se sont peu retrouvées. Mais dans 17 réalités actuelles : le pays de Lorient par exemple, aujourd’hui incontestable alors que la ville ne fut créée qu’en 1666. Si l’on veut rompre avec une complexité incompréhensible, voire l’entre-soi politico-administratif, redonner une espérance politique, n’est-il pas utile de renouer avec ce mot fort et partagé, une organisation simple pour laquelle la Bretagne fut pionnière dès les années 1960. Pour Bretagne Prospective, les pays sont l’avenir de la Bretagne.

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