Le lin a fait un retour remarqué en Bretagne et une filière s’est constituée pour accompagner cette renaissance. En ira-t-il de même du lupin, cette plante protéagineuse un peu oubliée et qui pourtant présente de nombreux atouts pour l’alimentation ou la cosmétique humaines et surtout pour l’alimentation animale ?
C’est l’objet d’une rencontre franco-russe qui vient de se tenir à Combourtillé près de Fougères (Ille-et-Vilaine), commune ou des parcelles expérimentales de lupin sont en cours. Pourquoi les Russes ? Parce qu’ils sont avec les Australiens les plus gros producteurs mondiaux et qu’ils veulent intensifier la culture de cette plante pour réduire leur dépendance au soja américain.
Article publié sur bretagne-bretons.fr