La loi Paul Molac vient d’être votée par le Sénat. C’est une étape sur le chemin de la généralisation de la proposition d’enseignement de nos langues, et de l’immersion. Il faut encore que ce travail trouve sa concrétisation par une adoption définitive à l’Assemblée nationale. Nos députés devront être fortement mobilisés et répondre présent, pour passer outre le refus gouvernemental.
Il va de soi que ce travail législatif imposant ne dispensera pas nos responsables politiques de faire preuve d’une volonté sans faille pour développer l’enseignement de nos langues et sortir du marasme actuel.
Article d’Yvon Ollivier publié sur abp.bzh