L’association Koun Breizh, dont Yvon Ollivier est le président, a initié au printemps dernier une lettre à L’UNESCO concernant la débretonnisation des toponymes bretons menacés tout particulièrement par le loi 3Ds. Pour Yvon Ollivier, « la réponse pour nous est positive car il s’agit de la reconnaissance de l’enjeu culturel de notre toponymie en langue bretonne, même si l’UNESCO nous dit qu’il n’y a pas d’extrême urgence pour une inscription sur la liste de sauvegarde. L’UNESCO dit que notre toponymie relève bien du patrimoine immatériel de l’Humanité et appelle l’État à la sauvegarder et à mesurer l’impact de ses lois. L’intégralité de l’article
Article de Philippe Argouarch publié par ABP