« On se met trop de pression, de charge mentale, par rapport à notre métier, la maison, la famille », constate Ophélie Le Goff, agricultrice dans le Finistère depuis 2015. Mais pas question, pour elle et Marie Caresmel, installée en 2024 en Ille-et-Vilaine, de renoncer à leurs engagements professionnels et en dehors de la ferme, tant ils les « nourrissent » et les « épanouissent ». Sans eux, elles ne seraient ni bien dans leur tête, leurs bottes et leur famille. L’intégralité de l’article

Article de Céline Clément publié par Terre-net