Morlaix : Grain de Sail lance la construction de son premier voilier-Cargo.

Morlaix : Grain de Sail lance la construction de son premier voilier-Cargo.

À Morlaix, dans le Finistère, Grain de Sail produit du chocolat et café haut de gamme, avec depuis sa création, en 2012, l’objectif d’importer ses matières premières à la voile. Un projet ambitieux, et pour l’atteindre, Jacques Barreau, directeur général de la PME expliquait il y a quelques mois :  » tout ne pourrait pas être mené de front, le projet nécessiterait trois étapes ».

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Article d’Eric Nedjar publié sur France Info.

Monnaie locale : le Buzuk fête ses deux ans et voit l’avenir en numérique !

Monnaie locale : le Buzuk fête ses deux ans et voit l’avenir en numérique !

Bon anniversaire le Buzuk ! Lancé en octobre 2016, la monnaie locale complémentaire citoyenne du Pays de Morlaix fête cette année ses deux ans. L’occasion de faire un point, et de parler des projets à venir, notamment du lancement de la monnaie numérique !

734 adhérents, 140 prestataires, 125 000 euros échangés…voilà quelques chiffres qui symbolisent la place qu’a su prendre le Buzuk, monnaie locale complémentaire et citoyenne, sur le territoire du Pays de Morlaix. En deux ans, le nombre de commerçants acceptant cette monnaie complémentaire à l’euro a été doublé. Le fruit d’un travail incessant de sensibilisation et de mobilisation, réalisé par la dizaine de bénévoles de l’association, appuyés de volontaires en service civique. Tous ont à cœur d’expliquer, notamment en étant présent sur le marché de Morlaix le samedi et lors de « café Buzuk » mensuels au Ty Coz, les objectifs et le fonctionnement de la monnaie : en adhérant, on devient utilisateur et on peut donc aller convertir des euros en Buzuks (1 euro = 1 buzuk) dans les différents comptoirs d’échanges disséminés sur le territoire. Buzuks en poche, on peut alors les dépenser chez les commerçants (les « prestataires ») qui acceptent les paiements en Buzuk. En adoptant cette monnaie locale complémentaire, on contribue ainsi à soutenir le commerce de proximité, la production locale, les circuits courts, on fait en sorte que l’argent reste dans l’économie locale et n’aille pas alimenter l’évasion fiscale ni la spéculation boursière.

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Article de Marie-Emmanuelle Grignon publié sur Eco-Bretons

La Malterie de Bretagne ouvrira avant l’été

La première Malterie de Bretagne entrera en activité avant l’été à Scaër (Finistère). Ce projet réunit quatorze brasseurs bretons.

Depuis de nombreuses années, les principaux brasseurs bretons, Coreff, Lancelot et la Brasserie de Bretagne en tête cherchent à créer leur propre malterie sur le territoire. Le maltage, une étape cruciale dans la fabrication de la bière qui consiste à chauffer de l’orge germé pour le transformer en malt, n’était pas, pour l’instant, réalisé en Bretagne. Ce sera chose faite avant l’été à Scaër (Finistère), commune qui a l’avantage d’être à équidistance des trois principaux brasseurs bretons.

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Article de Catherine Gentric publié sur Ouest France

Brexit. La double peine pour la Bretagne !

Brexit. La double peine pour la Bretagne !

Le Brexit pose un certain nombre de questions, notamment en ce qui concerne les futurs rapports économiques que le continent et le Royaume-Uni entretiendront. Parmi eux, la question du fret irlandais que les ports bretons de Brest et de Roscoff aimeraient pouvoir accueillir.

Malgré la proximité évidente des ports bretons, ceux-ci pourraient se voir refuser la possibilité d’accueillir le trafic de marchandises en provenance d’Irlande. Entre autres causes, leur éloignement du centre de l’Europe contrairement aux ports du Benelux. C’est donc la double peine pour la Bretagne : non seulement elle est éloignée du centre de l’Union européenne (et donc des marchés économiques ainsi que des décisions politiques), mais on lui interdirait la possibilité de développer des lignes transversales.

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Article de Gael Briand publié sur lepeuplebreton.bzh

« Où va la Bretagne ? »

Colloque organisé par Skol Vreizh le vendredi 16 novembre au Lycée agricole Suscinio de Ploujean-Morlaix à partir de 9h.
Ce colloque, gratuit et ouvert à tous, sera l’occasion d’entendre des intervenants réputés en Bretagne pour la pertinence de leurs analyses. Cette journée vise à réfléchir à la situation actuelle et à venir de la Bretagne ; il devrait intéresser les responsables politiques, économiques et culturels et plus largement toutes les personnes soucieuses de donner un avenir à notre région.

Intervenants : Malo Bouëssel du Bourg, directeur de Produit en Bretagne ; Jacques Brillet, porte-parole de la FSU Bretagne ; Paolig Combot, président d’Ar Falz / Skol Vreizh ; Philippe Gestin, journaliste et enseignant à l’IUT de Lannion ; Gerald Hussenot, ancien secrétaire du Comité régional des pêches ; Bernez Kloareg, directeur de la station biologique de Roscoff ; Thierry Kranzer, président du Fonds international pour la langue alsacienne ; Philippe Le Gal, président du Comité national de la conchyliculture ; Yves Lebahy, géographe ; Jean-Michel Le Boulanger, vice-président de la Région Bretagne ; Jean René Le Queau, vice-président d’Ar Falz / Skol Vreizh ; Jean-Pierre Le Roux, ancien chef d’entreprise ; Jean-Claude Le Ruyet, secrétaire d’Ar Falz / Skol Vreizh ; Yvon Ollivier, coauteur du Livre blanc de l’unité bretonne ; Jean Ollivro, géographe et président de Bretagne Prospective ; Rémi Mer, ingénieur agronome, etc.

Programme COLLOQUE SV

Pour sa 20e, Yaouank sort une prog’ 3 étoiles

Pour sa 20e, Yaouank sort une prog’ 3 étoiles

Le festival Yaouank lance sa 20e édition au mois de novembre. Le rendez-vous des amoureux de la culture bretonne prévoit 3 semaines sous le signe de la culture bretonne et de l’ouverture.

Du 1er au 17   novembre, le festival de culture bretonne revient à Rennes. Glenn Jegou, directeur du festival, revient sur les points forts du rendez-vous.

Plus grand fest-noz de Bretagne

Avec des concerts allant de 16 h à 6 h du matin, le rendez-vous a des airs de marathon ! Le « plus grand fest-noz de Bretagne » avait réuni l’an dernier plus de 8 000 danseurs. Peut-être plus cette année : « les billets partent bien », confie Glenn Jegou. Pour danser toute la nuit, dix-sept groupes sont programmés.

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Article de Jeanne Nicolle-Annic publié sur ouest-france.fr