Bretagne : des villages autonomes en énergie

Bretagne : des villages autonomes en énergie

En Bretagne, plusieurs petites villes se sont lancé le pari de devenir autosuffisantes en énergie.

Éoliennes à perte de vue, panneaux solaires sur les toits, déchetteries qui produisent du gaz : plusieurs villages bretons se sont lancé le défi de devenir autosuffisants en énergie. Dans les Côtes-d’Armor, le village du Mené produit déjà 100% de l’électricité qu’il consomme. Les habitants du village ont investi et détiennent 30% du parc éolien voisin. L’énergie produite par les éoliennes n’est pas consommée localement, mais revendue à EDF. Le projet a généré une dizaine d’emplois locaux et les 150 habitants actionnaires ont dégagé un petit bénéfice. Reste le problème des nuisances sonores pour certains riverains.

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Article publié sur le site de France 2

Six Franciliens sur 10 rêvent de travailler dans une autre région

Six Franciliens sur 10 rêvent de travailler dans une autre région

Selon le site Régionsjob, près d’un salarié français sur deux aimerait bouger géographiquement. En tête, les habitants de l’Ile-de-France.
« Le chiffre nous a paru considérable ! » Directeur délégué de Régionsjob, David Beaurepaire a été le premier surpris par les résultats de l’étude réalisée par le deuxième groupe français de recrutements sur Internet. « Nous avons analysé, explique-t-il, les envies de mobilité de 5,2 millions d’utilisateurs de notre site au premier trimestre 2018 et bien 45 % d’entre eux, soit 2,4 millions, ont regardé des postes localisés dans une autre région que la leur. Il y a en France une envie énorme de bouger. »

6 Franciliens sur 10

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Article de Marc Lomazzi paru dans le Parisien

Le blé noir a repris des couleurs

Le blé noir a repris des couleurs

Il sert traditionnellement aux galettes bretonnes ou au kig-ha-farz mais on le décline maintenant en chips, en gâteaux ou même en bière artisanale et certains grands chefs en ont fait un produit phare, comme Olivier Bellin, à Plomodien (29) deux étoiles au Michelin.

Pas de doute, le blé noir a repris de la graine lui qui, à la fin des années 70, semblait voué à un déclin inéluctable, voire une mort prochaine. Mais la standardisation alimentaire, la mondialisation naissante et les prix de pays à bas coûts n’ont pas tout emporté. Le blé noir breton a su résister, porté par la création d’une association, Blé noir Tradition qui a récemment fêté ses trente ans dans un contexte nettement plus porteur qu’à l’époque de sa naissance.

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Article de Pierre Vincent publié sur bretagne-bretons.fr

Innovation. Un Pôle mer Bretagne Atlantique au plus près des entreprises

Innovation. Un Pôle mer Bretagne Atlantique au plus près des entreprises

En direct des quais. Soucieux de se positionner au plus près de ses adhérents et partenaires, le pôle de compétitivité Pôle mer Bretagne Atlantique s’est réuni, vendredi, au Guilvinec. Objectif : dynamiser la Croissance Bleue en donnant une large place à l’innovation.

Le Pôle de compétitivité mer Bretagne Atlantique, basé à Plouzané a pour objectif de dynamiser la Croissance Bleue en donnant une large place à l’innovation qu’il accompagne, de Saint-Malo à Nantes, en s’appuyant sur un tissu industriel aussi dynamique qu’éprouvé, dense, et soutenu par des partenaires publics et privés. Son fer de lance c’est l’émergence de projets innovants qu’il labellise, porte et accompagne en Bretagne et Pays de la Loire.

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Article publié dans Ouest-France

Klaxoon cartonne. 43 millions pour la pépite rennaise

Klaxoon cartonne. 43 millions pour la pépite rennaise

C’est l’une des plus belles pépites de la Breizh Tech ! Et un nom très usité pour un autre usage mais désormais en passe de devenir une véritable marque de fabrique. Klaxoon est décidément née sous une bonne étoile. Sa trajectoire est fulgurante, son succès gagne tous les continents et elle vient de réussir à lever 43 millions d’euros (50 millions de dollars) pour conforter encore plus sa position de leader mondial. Dans quoi ? Non, pas dans le klaxon pour voitures sans chauffeur. La start-up rennaise a vite grimpé au septième ciel du numérique en misant sur un concept encore plus vieux que la première locomotive : la réunion de travail. Ce lieu de rencontre aux habitudes quasi immuables depuis deux siècles où il y a le ou les intervenants, les écoutants, les baillants et éventuellement les dormants.

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Article publié sur bretagne-bretons.fr