2 Mar 2017 | Actualités
Article publié sur le site Construire la Bretagne
Construire la Bretagne a souligné plusieurs fois comment l’absence d’identité claire avait été jugée par le jury international de l’Idex (Initiatives d’excellence) comme « l’obstacle principal » au financement de la recherche en Bretagne.
Trois fois déjà, le jury international a souligné la qualité exceptionnelle de la recherche en Bretagne tout en disant que « l’appellation choisie » (ici Ouest, là Bretagne-Loire…) était « illisible ». Qu’à cela ne tienne. Nos bons représentants persistent et signent. Sous l’appellation « Université Bretagne Loire », ils viennent pour la quatrième fois de porter un dossier de financement qui, selon eux, fait « la démonstration de la plateforme de promotion des compétences scientifiques … de l’ouest » (cf la première phrase de leur site).
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1 Mar 2017 | Actualités
Article de Alain Bihel dans Ouest-France
Alain Le Flohic, Philippe Colas, Isabelle Moquet et Emmanuel de Bressy, quelques-uns des représentants de Citéwatt, devant l’école Hoche où les panneaux photovoltaïques seront bientôt posés.
Au cœur du quartier Robien, à Saint-Brieuc, un projet de production collectif pourrait bien voir le jour prochainement. Cette idée lumineuse a pour nom Citéwatt. Une réunion a lieu vendredi 3 mars pour mobiliser encore plus de monde autour d’une énergie verte, locale et citoyenne, comme s’en réclame la devise de Citéwatt.
C’était il y a deux ans, en juin 2015. Après avoir participé à l’expérience Vire’volt de réflexion sur la consommation d’énergie des ménages, un petit groupe d’habitants du quartier Robien se demande s’il ne serait pas possible, par hasard, d’aller plus loin que les simples économies d’énergie ?
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24 Fév 2017 | Actualités
Article paru dans Les Echos du 21 février 2017
Les villes petites et moyennes sont à la traîne depuis une dizaine d’années, avec moins de créations d’emploi et davantage de métiers en perte de vitesse, selon une étude de France Stratégie.
Un marché de l’emploi à deux vitesses se dessine dans l’Hexagone depuis une dizaine d’années. Les créations d’emplois en France se concentrent sur les aires urbaines de plus de 500.000 habitants, positionnées sur les métiers les plus dynamiques, notamment de cadres, au détriment des villes petites et moyennes, selon une étude de France Stratégie.
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23 Fév 2017 | Actualités
Article publié sur west-web-valley.fr
Il y a ceux qui disent et ceux qui font. Et en matière de numérique, pas de doute, la Bretagne est une terre de Faisoux — comme on dit chez nous.
De Brest à Nantes, de Rennes à Quimper en passant par Saint-Brieuc, La Gacilly, Malestroit, Morlaix, Châteaulin, Audierne… le digital a essaimé massivement. Si certaines zones sont manifestement plus prolifiques, la dynamique FrenchTech s’étend sensiblement de communes en communes.
Les acteurs de la filière digitale, par essence structurés en réseaux, forment un maillage dense sur tout le territoire breton. La West Web Valley en fait partie, elle les connaît et les côtoie depuis toujours. Ce sont les organismes publics, espaces de coworking, incubateurs, accélérateurs, écoles et universités, associations, financeurs, événements, investisseurs, startups… et toutes les entreprises traditionnelles en transition numérique.
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22 Fév 2017 | Actualités
Sur Youtube, Facebook ou Twitter, les blagues sur la Bretagne prolifèrent. Entre autodérision et chauvinisme, les Bretons semblent fiers de leurs clichés.
« On ne s’appelle pas tous Goulven ou Loïc. Non. Il y a des Gwendal et des Youenn aussi. » Sur Youtube, Julfou a été l’un des premiers à rire des clichés de sa région. Température de l’eau, sabots, alcool, menhirs… Pendant 3 min 45, il fait le tour des plus gros stéréotypes bretons, et les tourne en dérision. Résultat ? Sa vidéo a été visionnée plus d’un million et demi de fois. (suite…)
22 Fév 2017 | Actualités
Article publié sur le site culture-bretagne.net
Si l’existence de la langue bretonne n’est un secret pour personne (tout du moins en Bretagne), le marché du travail en breton reste encore un mystère pour beaucoup de Bretons. Pourtant avec 200.000 locuteurs, plus de 16.000 enfants scolarisés en langue bretonne tous les ans et près de 4.000 adultes apprenant le breton chaque année, il y a un marché énorme de services et produits commerciaux en breton.
Et c’est sans compter les millions de Bretons non brittophones attachés à la langue bretonne qui achètent également des produits mettant en avant la langue bretonne, ainsi que tous les emplois de service qui découlent de ces nouveaux besoins (informatique, comptabilité, traduction…).
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