Bretagne Prospective enquête sur les jeunes de notre région

Bretagne Prospective enquête sur les jeunes de notre région

A partir d’un panel représentatif de jeunes Bretons de 18 à 30 ans, Bretagne Prospective cherche à comprendre comment cette population envisage la région.

La Bretagne constitue-t-elle un avenir pour eux ?

Un lieu où vivre, travailler, s’épanouir ?

Quel rapport entretiennent-ils avec la culture bretonne ?

Autant de questions passionnantes que seuls les jeunes Bretons peuvent élucider. Bretagne Prospective vous propose donc de participer et de faire circuler cette enquête !

Participer à l’enquête

La Météo de précision s’invite à la ferme

La Météo de précision s’invite à la ferme

En attendant que le tracteur connecté à la station météo ne décide d’aller seul au champ pour intervenir au meilleur moment, les services agrométéorologiques de plus en plus personnalisés se développent.

La météo et l’agriculteur : un vieux couple qui date de la nuit des temps. Pour la bonne raison que la réussite d’une production végétale et animale est intimement liée au temps qu’il fait et au temps qu’il fera. Si dans un passé proche quelques agriculteurs-observateurs étaient des puits de science locale en matière de prévision météo, les contemporains préfèrent se fier aux technologies pour se faire une idée du temps qu’il fera. Mais l’objectif final de l’agriculteur reste inchangé : intervenir au meilleur moment pour réussir sa culture, récolter son fourrage ou gérer le pâturage de son troupeau, etc.

En savoir plus

Un article de Didier Le Du publié sur Paysan Breton

Les langues de France, ces cathédrales oubliées

La France et le monde se mobilisent pour sauver Notre-Dame, et c’est formidable. Qu’attend-on pour en faire autant avec nos langues régionales?

Et si on ne reconstruisait pas Notre-Dame ? Une telle suggestion peut surprendre, je vous l’accorde, mais réfléchissez un peu. Après tout, la cathédrale parisienne n’est pas notre seul édifice gothique. Nous avons aussi Amiens, Reims, Chartres, Laon et tant d’autres. Alors pourquoi ne pas la laisser ouverte aux quatre vents et attendre patiemment qu’elle s’écroule ? Pourquoi dépenser autant d’argent alors que l’on en manque ? Laissons-la mourir de sa belle mort, et passons à autre chose !

Ce raisonnement, je le sais bien, ne tient pas la route une nano-seconde. Et si je fais mine de le défendre, c’est pour mieux poser deux questions qui me taraudent depuis ce funeste 15 avril. Pourquoi appliquer à un pan entier de notre patrimoine cette politique criminelle, cet abandon absurde, cette attitude irresponsable qui nous révulseraient si Notre-Dame en était la victime ? Pourquoi, pendant que la restauration de la sublime cathédrale s’organise dans une effervescence bienvenue, laissons-nous un autre feu ravager dans une indifférence générale les langues du beau pays de France ? Un incendie qui flambe depuis des siècles et aura bientôt terminé son oeuvre. Et ce n’est pas moi qui le dis, mais l’ensemble des experts ! Si rien ne change, toutes les langues minoritaires de métropole auront disparu d’ici à la fin du siècle – toutes.

L’intégralité de l’article

Article de Michel Feltin-Palas publié sur lexpress.fr

Saint-Brieuc en Breizh 5/5

Saint-Brieuc en Breizh 5/5

La ville de Saint-Brieuc est sans doute une des plus complexes de Bretagne, que ce soit en termes d’organisation ou d’image. Dans le premier cas, c’est une ville née au Ve siècle d’un mariage armor-argoat qui explique sa croissance. Cet élément constitutif accroît aux XVIe-XVIIe siècles sa prospérité au temps des toiles, fabriquées notamment dans l’arrière-pays (Uzel, Quintin). Déjà découpée par des aberioù courts mais profonds (le Gouët, le Gouédic), ce fut ensuite une ville découpée comme un quatre-quarts par les réseaux cette fois est-ouest qui ont puissamment marqué son territoire (les viaducs de Harel de La Noë, la RN12 qui la traverse sinon la tronçonne). La présence simultanée d’un damage nord-sud et est-ouest, ainsi que ces dénivelés, expliquent une très vive organisation par quartier (Ginglin n’est pas Cesson, ni le « plateau »). Enfin, suite aux grèves du Joint français, c’est une ville qui a toujours eu une image ambivalente. (suite…)

Les Bretons de Nantes font un concours des vins puis une grande fête

Les Bretons de Nantes font un concours des vins puis une grande fête

Les vignerons qui ont l’âme bretonne devront déposer leurs échantillons de muscadet sur lie le lundi 29 avril pour participer au concours organisé par le comité des vins bretons. Le lauréat sera à l’honneur de la Grande tablée de Nantes le dimanche 19 mai.

Identité bretonne

Dans le vignoble de Nantes, certains producteurs revendiquent leur attachement à la Bretagne, comme Maxime Chéneau, du domaine Beau-Soleil, à Mouzillon, ou Vincent Loiret, au château de la Perrière, au Pallet, Triskell d’Or au concours 2018.

Ils y vendent naturellement leur production. Ils aimeraient bien que le muscadet soit identifié comme vin breton tout simplement. À Nantes, leur capitale historique, ils trouvent une belle vitrine. Le comité des vins bretons y organise la fête de la Bretagne « Gouel Breizh ».

L’intégralité de l’article

Article publié sur ouest-france.fr

Un géant des mers contre la pollution

Un géant des mers contre la pollution

Le MANTA est le premier navire hauturier capable de collecter en grande quantité les macro-déchets plastiques qui flottent sur les océans.

Concentrant dans sa conception les technologies les plus innovantes en matière de production d’énergie propre, il est autonome et bénéficie d’une manœuvrabilité optimale lui permettant d’intervenir rapidement dans les zones les plus fortement polluées, aussi bien en haute mer que le long des côtes ou dans les estuaires des 10 grands fleuves d’où proviendrait 90 % de la pollution plastique déversée dans les océans.

L’intégralité de l’article

Article publié sur le site theseacleaners.org

Finistère. L’agroécologie, c’est le credo du Caté

Finistère. L’agroécologie, c’est le credo du Caté

À Saint-Pol-de-Léon, dans le Finistère, le Caté (Comité d’action technique et économique) est la station expérimentale des légumiers bretons. Elle court sur 16 ha, dont 1 ha de serres ultramodernes.

Agroécologie et développement durable, « c’est là qu’on nous attend, c’est désormais incontournable » . Jean-Denis Crenn, président du Caté (Comité d’action technique et économique) et producteur de légumes à Plouvorn (Finistère), en est convaincu.

L’intégralité de l’article

Article publié sur le site de Ouest-France

Export. L’Amérique pour 4 startups bretonnes

Export. L’Amérique pour 4 startups bretonnes

C’est la promesse du concours de l’association Breizh Amerika qui sera lancé le 16 avril, à Rennes.

Au large de la Bretagne, il y a… l’Amérique ! Rien de plus naturel alors, quand on est dirigeant d’entreprise, que d’y tenter sa chance. C’est la raison d’être du concours de startups de l’association Breizh Amerika, dont la 4e édition sera lancée le 16 avril, au Roazhon Park à Rennes. « L’objectif est de créer des ponts culturels et économiques entre la Bretagne et l’Amérique », explique Charles Kergaravat, président de l’association Breizh Amerika. Cette année, afin de décrocher l’une des quatre places pour New-York, chaque candidat devra répondre à dix questions. « C’est suffisant pour se faire une idée du projet », confirme Charles Kergaravat. Les lauréats seront dévoilés le 19 juin, à Brest.

L’intégralité de l’article

Article publié sur ouest-france

Le Journal de la Bretagne : un nouvel hebdomadaire sur les cinq départements

Le Journal de la Bretagne : un nouvel hebdomadaire sur les cinq départements

La place était vacante. Ils l’ont fait. Avec une équipe de 12 journalistes, c’est un événement qui se produit en Bretagne avec une information disponible et complète sur les cinq départements bretons. Avec pour rédacteur en chef Erwan Chartier mais aussi Yann Rivallain, on retrouve aux manettes une équipe expérimentée qui fut la fine fleur du toujours remarquable ArMen. De même, si le projet est porté par Christian Troadec, ce dernier a précisé qu’il sera sur cet hebdo un investisseur avec « une rédaction libre et indépendante » (ABP, le 13.04).

C’est donc l’aventure d’un magazine d’information sur l’ensemble de la Bretagne qui débute, avec tant de choses à relayer sur l’ensemble d’un territoire dynamique. Avec une équipe de professionnels, l’hebdo sera initialement un 40 pages de format tabloïd avec, pour démarrer, un tiers consacré à des infos générales, des dossiers et des débats sur la Bretagne. Puis un tiers d’information pour chaque département. Enfin un dernier tiers de vocation davantage magazine (histoire, portrait, une page en breton, une rubrique voyage, des jeux…).

A l’instar de l’Europe et en paraphrasant Monnet et Schuman, la Bretagne « se réalisera par des réalisations concrètes entraînant une unité de fait ». Il est évident que le lancement de cet hebdomadaire est un tournant effectif pour la construction de la Bretagne. Le journal sera disponible dans 850 points de vente sur les cinq départements bretons et l’équilibre économique se situe autour de 10 000 exemplaires avec une ambition pour le moins raisonnable, d’autant que différentes entreprises veulent bien sûr communiquer sur la Bretagne, son image et ses produits. Premier numéro : ce mercredi 17 avril.

Bretagne Prospective

Bulletin d’abonnement

Composites : un secteur dominé par le nautisme et la voile de compétition

Composites : un secteur dominé par le nautisme et la voile de compétition

La filière des composites en Bretagne se concentre dans les agglomérations de Lorient, Vannes, Brest, Rennes, Saint-Brieuc et Saint-Malo dans les secteurs du nautisme et la voile de compétition.

En 2017, la filière des composites en Bretagne représentait 2.047 emplois directs (dont 737 associés exclusivement à l’activité), pour un chiffre d’affaires global de 367 millions d’euros, dont 180 millions d’euros pour l’activité des composites. Ces chiffres proviennent d’une étude produite par l’agence économique Bretagne Développement Innovation avec le réseau Composite Bretagne.

L’intégralité de l’article

Article de Pascale Paoli-Lebailly sur latribune.fr