Mangeons local en Bretagne

Mangeons local en Bretagne

Être ou devenir locavore en circuit court, c’est privilégier ses achats dans un rayon court autour de chez soi. Également privilégier la consommation de produits saisonniers. Ou encore privilégier l’achat directement auprès des producteurs.

Notre alimentation est devenue un sujet de préoccupation majeur et d’avenir pour nos sociétés occidentales dites développées.
On mange de trop et on mange de plus en plus mal. Nous ingurgitons à longueur de repas des matières nocives. A la fois pour notre santé et pour notre environnement. Depuis des lustres, tout a été organisé pour nous éloigner de la nature. Aussi pour entraîner notre agriculture dans une course folle à toujours produire plus en consommant toujours plus d’eau et d’intrants hautement chimiques. Et pour nous imposer une alimentation de plus en plus industrielle.

L’intégralité de l’article

Article publié sur nhu.bzh

Langouët. Six véhicules à se partager, l’expérimentation a commencé

Langouët. Six véhicules à se partager, l’expérimentation a commencé

Samedi 2 février, en fin de matinée, Daniel Cueff, le maire de Langouët, au nord de Rennes, a donné le top départ d’une toute nouvelle expérimentation : une flotte de six véhicules en autopartage.

La flotte de six véhicules est composée d’une Zoé électrique communale et cinq véhicules de Langouëtiens, volontaires pour l’opération.

Marc Potel, directeur du fonds d’innovation les Enchanterres à la Caisse d’Épargne, partenaire de l’opération avec la municipalité, a exposé le principe du nouveau service.

« Dans un premier temps la personne souhaitant utiliser une voiture procède à une inscription sur la plateforme Koolicar qui alloue un badge d’ouverture et de fermeture des portes. Sur le véhicule il s’agit tout simplement de mettre un boîtier qui reconnaît le badge. »

Pour toute la phase d’expérimentation, le service est gratuit. Daniel Cueff, maire, souligne : « il restera gratuit pour la Zoé communale et une participation à terme sera demandée à l’utilisateur ».

L’intégralité de l’article

Article publié dans Ouest-France

Vu de Bretagne : les réseaux sociaux, nouvelle arme de construction massive ?

Vu de Bretagne : les réseaux sociaux, nouvelle arme de construction massive ?

Gérard Darmanin, Ministre français de l’action et des comptes publics prétextait récemment que pour des raisons de lutte contre la fraude fiscale, le pouvoir central surveillerait de plus près encore nos réseaux sociaux personnels. Car si les photos que vous étalez sur vos page Facebook et compte Twitter ne semblent pas correspondre aux revenus que vous déclarez, vous pourriez bien être inquiétés.

L’importance accrue des réseaux sociaux.

Dans cet état auto-proclamé des Droits de l’Homme qui fut si Charlie il y a peu encore, la presse dite mainstream est contrôlée et achetée … pardon, « subventionnée ». Parce que presque plus aucun média ne peut survivre dans l’Hexagone sans cette manne d’argent public. C’est celui qui donne l’argent qui a le pouvoir, dans la presse comme trop souvent ailleurs.
Hors cette information truquée et partisane, imprimant à tout va entre fake news et désinformation, il existe un vaste espace de liberté : internet.
Internet et les réseaux sociaux. Les pouvoirs centraux parisien et bruxellois ne le savent que trop bien.

Voir l’intégralité de l’article

Article de Rémy Penneg publié par NHU Bretagne

L’union Groupe d’aucy-Triskalia s’appellera Eureden

L’union Groupe d’aucy-Triskalia s’appellera Eureden

Ce jeudi 31 janvier, Groupe d’aucy et Triskalia ont levé le voile sur le nom de leur future union qui s’appellera Eureden.

Rien d’étonnant à la consonance bretonne de la nouvelle entité coopérative polyvalente, Eureden, puisqu’elle est le fruit du rapprochement entre deux grands groupes coopératifs bretons : Groupe d’aucy (siège social à Theix, dans le Morbihan) et Triskalia (siège social à Landerneau, dans le Finistère). Ce nom vient du breton « euredenn » qui signifie mariage, alliance, et synonyme également de bonheur, chance pour « eure » et grain de blé pour « edenn ».

L’intégralité de l’article

Article d’Hélène Laurandel publié sur Agrodistribution Actualités

Alternatives à la voiture : les zones rurales expérimentent

Alternatives à la voiture : les zones rurales expérimentent

Moins bien pourvues en transports en commun que les villes, les zones rurales innovent pour offrir des alternatives à la voiture individuelle. Exemples avec le département du Nord et le Pays de Ploërmel, lauréat de French mobility.

« Sur notre territoire, les déplacements en voiture sont faciles, voire trop faciles, ce qui limite la recherche d’alternatives pour se déplacer ». Pierrick Allard, directeur du pays de Ploërmel – cœur de Bretagne (Morbihan), résume en quelques mots la difficulté qu’ont les zones rurales à promouvoir les alternatives à la voiture. Ainsi, selon une étude de l’observatoire de la mobilité émergente, 73 % des habitants des zones rurales ont un usage quotidien de la voiture, contre 28 % dans les villes centres des métropoles. L’absence d’alternatives, mais aussi parfois la facilité et la liberté qu’offrent les déplacements en voiture freinent le développement d’une mobilité plus durable. Pourtant, le budget carburant pèse sur le pouvoir d’achat des ménages et les enjeux environnementaux accentuent la nécessité de changer de modèle de mobilité.

L’intégralité de l’article

Article de Sophie Fabrégat publié sur actu-environnement.com

L’indispensable relance du projet maritime breton.

L’indispensable relance du projet maritime breton.

La Bretagne oubliée des nouvelles cartes maritimes de l’Europe : faisons le point.

Confrontée au Brexit et à la nécessité de développer des liaisons maritimes directes entre l’Irlande et l’Europe, la Commission Européenne avait souhaité renforcer les grands ports de Rotterdam et Anvers en oubliant les ports du Nord-Ouest de la France et, plus encore, les ports bretons. Le 10 janvier, suite à l’action de plusieurs députés européens, le Parlement Européen a voté l’intégration de ces ports oubliés dans le « réseau central », ce qui leur donnerait un accès à une enveloppe de subventions européennes. Cependant, comme toujours en Europe, la décision finale appartiendra aux États nationaux et au Conseil européen.

Lire l’intégralité de l’article

Article rédigé par François Arbellot-Repaire publié sur www.nhu.bzh

L’indispensable relance du projet maritime breton.

La Bretagne oubliée des nouvelles cartes maritimes de l’Europe

Confrontée au Brexit et à la nécessité de développer des liaisons maritimes directes entre l’Irlande et l’Europe, la Commission Européenne avait souhaité renforcer les grands ports de Rotterdam et Anvers en oubliant les ports du Nord-Ouest de la France et, plus encore, les ports bretons. Le 10 janvier, suite à l’action de plusieurs députés européens, le Parlement Européen a voté l’intégration de ces ports oubliés dans le « réseau central », ce qui leur donnerait un accès à une enveloppe de subventions européennes. Cependant, comme toujours en Europe, la décision finale appartiendra aux États nationaux et au Conseil européen.

Mais ce choix de la Commission Européenne est-il si étonnant compte tenu de la faiblesse des « grands ports » français et de leurs connexions ?

L’intégralité de l’article

Article de François Arbellot-Repaire publié sur nhu.bzh

Pourquoi les jeunes ne participent-ils pas au Grand débat ?

Pourquoi les jeunes ne participent-ils pas au Grand débat ?

Méfiance vis-à-vis de cette consultation nationale qualifiée « de poudre aux yeux », sentiment de ne jamais être écoutés, questions orientées ou déconnectées du quotidien des lycéens et étudiants… Les critiques des jeunes sur le Grand débat national sont nombreuses.

Depuis son lancement il y a huit jours, le Grand débat national voulu par le président de la République fait pas mal recette. Les rencontres se multiplient dans les communes un peu partout en France. Les habitants se pressent à chaque réunion. Et les questions de fiscalité dominent largement les discussions. Selon un récent sondage Opinionway publié mardi, 67 % des Français jugent d’ailleurs comme « une bonne chose » cette consultation nationale.

L’intégralité de l’article

Article d’Yves-Marie Robin publié dans Ouest-France

Des algues sous serres dans les terres du Léon

Passer de la culture de légumes à la culture d’algues sous serres, ce n’est pas la mer à boire. C’est du moins la conviction et l’audacieux pari de Jean-François Jacob. Le légumier du Léon, ex président de la puissante Sica de Saint-Pol-de-Léon (un millier d’adhérents) ), voulait diversifier ses activités. Mais il n’y est pas allé avec le dos de la cuillère puisque l’énorme projet qu’il conduit devrait bientôt déboucher sur la première serre de macroalgues algues au monde, à Saint-Pol-de-Léon sous l’égide de la société Berzhin-Breizh (algue bretonne), comme il l’a révélé au Télégramme.

Pour un légumier, cela paraît un brin extravagant mais n’est-on pas ici sur les terres de ces paysans qui ont naguère créé la Brittany Ferries, aujourd’hui première compagnie française de transport de passagers ? De la terre à la mer, il n’y a qu’un pas. Et vice-versa dans ce pays de terriens marins.

L’intégralité de l’article

Article de René Perez publié sur bretagne-bretons