Loudéac bientôt autonome en énergie grâce à la plus importante usine de méthanisation de Bretagne

Loudéac bientôt autonome en énergie grâce à la plus importante usine de méthanisation de Bretagne

C’est indiscutablement l’un des projets les plus novateurs de Bretagne. La station de méthanisation de Loudéac (Côtes-d’Armor) sera la plus importante de Bretagne.
L’impressionnant chantier de construction de l‘unité de méthanisation de Loudéac (Côtes-d’Armor), entre Saint-Brieuc et Vannes, près de la station d’épuration de Calouët, est en voie d’achèvement. L’usine devrait être opérationnelle au début du second semestre 2019.

Une usine « écolo »

Biodéac, c’est le nom de cette usine de méthanisation, a pour objectif de valoriser la matière organique en produisant de l’énergie renouvelable.

L’usine produira aussi un fertilisant naturel, apte à se substituer aux engrais chimiques et au lisier.

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Article de Jean-François Podevin publié dans Le Courrier Indépendant

La Bretagne : une référence en matière d’ingrédients marins pour la cosmétique

La Bretagne : une référence en matière d’ingrédients marins pour la cosmétique

L’article « Les ressources marines ne nous ont pas encore tout dit » publié dans le magazine Industries cosmétiques – n° 20 – décembre 2019, traite de la montée en puissance des actifs marins en cosmétique, notamment à travers le regard d’acteurs bretons tels qu’Agrimer, BiotechMarine Seppic, Lessonia et CBB Capbiotek.

« L’enjeu de la valorisation des algues à visée cosmétologique a porté le développement de toute une filière professionnelle implantée en Bretagne. (…) Riche d’une variété infinie d’actifs, (…) la mer a tout pour plaire en beauté et l’industrie surfe déjà bien la vague. En totale adéquation avec l’exigence de naturalité attendue par les consommateurs, l’alliance mer et cosmétologie évolue au rythme du développement des technologies et biotechnologies marines ajoutant à l’extraordinaire potentiel qu’elle recèle. »

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Article publié sur capbiotek.fr

Mangeons local en Bretagne

Mangeons local en Bretagne

Être ou devenir locavore en circuit court, c’est privilégier ses achats dans un rayon court autour de chez soi. Également privilégier la consommation de produits saisonniers. Ou encore privilégier l’achat directement auprès des producteurs.

Notre alimentation est devenue un sujet de préoccupation majeur et d’avenir pour nos sociétés occidentales dites développées.
On mange de trop et on mange de plus en plus mal. Nous ingurgitons à longueur de repas des matières nocives. A la fois pour notre santé et pour notre environnement. Depuis des lustres, tout a été organisé pour nous éloigner de la nature. Aussi pour entraîner notre agriculture dans une course folle à toujours produire plus en consommant toujours plus d’eau et d’intrants hautement chimiques. Et pour nous imposer une alimentation de plus en plus industrielle.

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Article publié sur nhu.bzh

Langouët. Six véhicules à se partager, l’expérimentation a commencé

Langouët. Six véhicules à se partager, l’expérimentation a commencé

Samedi 2 février, en fin de matinée, Daniel Cueff, le maire de Langouët, au nord de Rennes, a donné le top départ d’une toute nouvelle expérimentation : une flotte de six véhicules en autopartage.

La flotte de six véhicules est composée d’une Zoé électrique communale et cinq véhicules de Langouëtiens, volontaires pour l’opération.

Marc Potel, directeur du fonds d’innovation les Enchanterres à la Caisse d’Épargne, partenaire de l’opération avec la municipalité, a exposé le principe du nouveau service.

« Dans un premier temps la personne souhaitant utiliser une voiture procède à une inscription sur la plateforme Koolicar qui alloue un badge d’ouverture et de fermeture des portes. Sur le véhicule il s’agit tout simplement de mettre un boîtier qui reconnaît le badge. »

Pour toute la phase d’expérimentation, le service est gratuit. Daniel Cueff, maire, souligne : « il restera gratuit pour la Zoé communale et une participation à terme sera demandée à l’utilisateur ».

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Article publié dans Ouest-France

Vu de Bretagne : les réseaux sociaux, nouvelle arme de construction massive ?

Vu de Bretagne : les réseaux sociaux, nouvelle arme de construction massive ?

Gérard Darmanin, Ministre français de l’action et des comptes publics prétextait récemment que pour des raisons de lutte contre la fraude fiscale, le pouvoir central surveillerait de plus près encore nos réseaux sociaux personnels. Car si les photos que vous étalez sur vos page Facebook et compte Twitter ne semblent pas correspondre aux revenus que vous déclarez, vous pourriez bien être inquiétés.

L’importance accrue des réseaux sociaux.

Dans cet état auto-proclamé des Droits de l’Homme qui fut si Charlie il y a peu encore, la presse dite mainstream est contrôlée et achetée … pardon, « subventionnée ». Parce que presque plus aucun média ne peut survivre dans l’Hexagone sans cette manne d’argent public. C’est celui qui donne l’argent qui a le pouvoir, dans la presse comme trop souvent ailleurs.
Hors cette information truquée et partisane, imprimant à tout va entre fake news et désinformation, il existe un vaste espace de liberté : internet.
Internet et les réseaux sociaux. Les pouvoirs centraux parisien et bruxellois ne le savent que trop bien.

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Article de Rémy Penneg publié par NHU Bretagne

L’union Groupe d’aucy-Triskalia s’appellera Eureden

L’union Groupe d’aucy-Triskalia s’appellera Eureden

Ce jeudi 31 janvier, Groupe d’aucy et Triskalia ont levé le voile sur le nom de leur future union qui s’appellera Eureden.

Rien d’étonnant à la consonance bretonne de la nouvelle entité coopérative polyvalente, Eureden, puisqu’elle est le fruit du rapprochement entre deux grands groupes coopératifs bretons : Groupe d’aucy (siège social à Theix, dans le Morbihan) et Triskalia (siège social à Landerneau, dans le Finistère). Ce nom vient du breton « euredenn » qui signifie mariage, alliance, et synonyme également de bonheur, chance pour « eure » et grain de blé pour « edenn ».

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Article d’Hélène Laurandel publié sur Agrodistribution Actualités

Alternatives à la voiture : les zones rurales expérimentent

Alternatives à la voiture : les zones rurales expérimentent

Moins bien pourvues en transports en commun que les villes, les zones rurales innovent pour offrir des alternatives à la voiture individuelle. Exemples avec le département du Nord et le Pays de Ploërmel, lauréat de French mobility.

« Sur notre territoire, les déplacements en voiture sont faciles, voire trop faciles, ce qui limite la recherche d’alternatives pour se déplacer ». Pierrick Allard, directeur du pays de Ploërmel – cœur de Bretagne (Morbihan), résume en quelques mots la difficulté qu’ont les zones rurales à promouvoir les alternatives à la voiture. Ainsi, selon une étude de l’observatoire de la mobilité émergente, 73 % des habitants des zones rurales ont un usage quotidien de la voiture, contre 28 % dans les villes centres des métropoles. L’absence d’alternatives, mais aussi parfois la facilité et la liberté qu’offrent les déplacements en voiture freinent le développement d’une mobilité plus durable. Pourtant, le budget carburant pèse sur le pouvoir d’achat des ménages et les enjeux environnementaux accentuent la nécessité de changer de modèle de mobilité.

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Article de Sophie Fabrégat publié sur actu-environnement.com

L’indispensable relance du projet maritime breton.

L’indispensable relance du projet maritime breton.

La Bretagne oubliée des nouvelles cartes maritimes de l’Europe : faisons le point.

Confrontée au Brexit et à la nécessité de développer des liaisons maritimes directes entre l’Irlande et l’Europe, la Commission Européenne avait souhaité renforcer les grands ports de Rotterdam et Anvers en oubliant les ports du Nord-Ouest de la France et, plus encore, les ports bretons. Le 10 janvier, suite à l’action de plusieurs députés européens, le Parlement Européen a voté l’intégration de ces ports oubliés dans le « réseau central », ce qui leur donnerait un accès à une enveloppe de subventions européennes. Cependant, comme toujours en Europe, la décision finale appartiendra aux États nationaux et au Conseil européen.

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Article rédigé par François Arbellot-Repaire publié sur www.nhu.bzh

L’indispensable relance du projet maritime breton.

La Bretagne oubliée des nouvelles cartes maritimes de l’Europe

Confrontée au Brexit et à la nécessité de développer des liaisons maritimes directes entre l’Irlande et l’Europe, la Commission Européenne avait souhaité renforcer les grands ports de Rotterdam et Anvers en oubliant les ports du Nord-Ouest de la France et, plus encore, les ports bretons. Le 10 janvier, suite à l’action de plusieurs députés européens, le Parlement Européen a voté l’intégration de ces ports oubliés dans le « réseau central », ce qui leur donnerait un accès à une enveloppe de subventions européennes. Cependant, comme toujours en Europe, la décision finale appartiendra aux États nationaux et au Conseil européen.

Mais ce choix de la Commission Européenne est-il si étonnant compte tenu de la faiblesse des « grands ports » français et de leurs connexions ?

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Article de François Arbellot-Repaire publié sur nhu.bzh