6 Oct 2016 | Actualités
Article publié sur Ouest-France le 5 octobre 2016
Installée près de Rennes, l’agence de communication Breizhtorm vient de sortir ses Emojis Breizh. De petits pictogrammes sur la culture bretonne que leur application permet de rajouter à votre clavier de smartphone.
Ancre marine, menhir, Triskel ou kouign-amann… Grâce à cette application, il est désormais possible d’ajouter une touche de culture bretonne dans les conversations SMS et Facebook.
Intitulée Emojis Breizh, on y retrouve 90 pictogrammes répartis dans 6 catégories.
L’intégralité de l’article
9 Sep 2016 | Actualités
Article de Jean-Laurent Bras publié sur Ouest-France du 8 septembre 2016
Philippe Legorjus, ex-patron du GIGN, dirigeant de Redéo
L’ « entreprise territoriale » bretonne, pilotée par une association, vient d’obtenir un agrément ministériel. De simple courtier, elle va devenir fournisseur direct sur le marché du gaz naturel.
2014. La Bretagne est encore traumatisée par la crise économique et sociale qui a secoué son tissu industriel, agroalimentaire notamment. Le spectre d’une écotaxe qui viendrait plomber la compétitivité d’entreprises défavorisées par leur éloignement des grands centres de consommation européens a fait monter à l’assaut des portiques, agriculteurs, transporteurs et Bonnets rouges…
L’intégralité de l’article
20 Août 2016 | Actualités
Article publié sur le site nhu.bzh
On entend et on lit un peu partout et depuis trop longtemps une même ritournelle. « Il faut absolument mettre la Bretagne à trois heures de la capitale en train ».
Et on ne précise pas de quelle capitale européenne il s’agit. Mais comme il s’agit de voie ferroviaire et de trois heures, il faut en déduire qu’il s’agit de Paris.
Allez, entre nous, faisons un petit sondage et posons-nous les bonnes questions.
A Paris, pour y faire quoi ?
De multiples raisons peuvent nous envoyer à Paris.
L’intégralité de l’article
11 Août 2016 | Actualités
Article de Alain Bihel dans Ouest-France du 9 août 2016
C’est bien connu, les Bretons sont établis partout dans le monde. Une appli pour smartphone permet désormais de les localiser quand on a besoin d’eux.
Des Bretons 2.0
Besoin d’aide, envie de boire un verre et parler breizhou, même en voyage à l’autre bout du monde ? Stag est une appli imaginée par deux Costarmoricains et un Finistérien, pour créer du lien entre les Bretons, tout autour de la planète. En un coup de pouce, on lance l’appli sur le smartphone et on localise les membres les plus proches de nous, prêts à rendre service, héberger, partager un repas…
La notion de communauté bretonne n’est pas une nouveauté et chacun a une anecdote à raconter sur ces rencontres improbables autant qu’inattendues vécues en un point quelconque du globe. La légendaire entraide entre expatriés a donné naissance à des réseaux, des sites internet et des associations très vivantes. Stag facilite ce lien entre des personnes qui ont les mêmes attaches à leur région, d’origine ou de coeur.
L’intégralité de l’article
7 Août 2016 | Actualités
Article de Marine Lathuillière dans Ouest-France du 27 août 2016
Maylis Pilliaudin et Mathias Luco
Deux jeunes entrepreneurs basés à Rennes ont lancé Breizh Club, une marque de vêtements en ligne, jouant sur les codes de la culture bretonne.
Lancée officiellement il y a un mois, la marque Breizh Club surfe sur la vague de la culture bretonne nouvelle génération. Ses tote bags, sweats et t-shirts affichent phrases et dessins à l’effigie de la Bretagne.
Aux commandes ? Mathias Luco, 27 ans, originaire de Saint-Brieuc, et Maylis Pilliaudin, 25 ans, de Rennes, aux profils complémentaires. Le premier s’occupe du graphisme alors que la 2e est orientée communication.
L’intégralité de l’article
13 Juil 2016 | Actualités
On trouve sans doute autant de définitions de la permaculture qu’il existe de permaculteurs, tout simplement car ce courant d’actions diffère selon les lieux et « vise à stopper le biocide en cours » (E. Escoffier). De manière large, elle peut être considérée comme « une méthode de conception permettant de créer des environnements aux besoins des êtres humains tout en respectant la nature » (Brin de paille). Toutefois, on s’oriente ailleurs vers l’idée d’un « jardinage auto-fertile », la création d’une « abondance biodynamique », d’une « culture biointensive », d’un « mode d’action pour renforcer la biodiversité », etc.
Un point intéressant est que le concept peut être formulé de façon simple (renforcer la production écologique du vivant) tout comme de façon compliquée et systémique. Ainsi, la rosace ou « fleur de permaculture » a été inventée par l’australien David Holmgren fin 2008 (ci-dessous) et est désormais présentée avec diverses variantes. (suite…)
30 Juin 2016 | Actualités
C’est a priori le critère prix qui oriente nos achats. Toutefois, réaliser 20 km pour aller chercher une baguette n’est pas forcément une bonne affaire vu le prix du déplacement. De même, « nos emplettes sont aussi nos emplois » et des critères éthiques ou de qualité sont aussi à prendre en compte (traçabilité et durée de vie des produits pour éviter le gâchis, sécurité sanitaire, emploi local, etc.).
Aujourd’hui, « faire ses courses » de manière efficace est donc une opération très complexe. La grande distribution et même les associations de consommateurs de type « Que choisir ? » communiquent uniquement sur les prix à la caisse en oubliant en amont tous les coûts induits, notamment celui des déplacements et parfois du stationnement ou de la livraison. Ils oublient aussi les effets induits de nos achats sur le territoire. Or, l’acte d’achat est sans doute le levier démocratique le plus profond pour orienter la société vers ce que chacun juge légitime (bio, label, emplois territoriaux…). La démocratie est aussi dans le panier de la ménagère.
De fait, une étude un plus poussée permet peut-être de mieux s’y retrouver. Elle donne différentes informations sur l’originalité commerciale bretonne, envisage certaines spécificités régionales, pose enfin quelques questions de fond sur l’avenir ou les opportunités commerciales dans différents territoires (l’avenir des commerces dans les centres-villes, etc.). (suite…)
21 Juin 2016 | Actualités
« La mer est ton miroir ». Elle devrait aussi être notre boussole. C’est le sens du dernier essai de Jean Ollivro, en forme d’inventaire et de plaidoyer. Deux tiers des habitants de la planète vivent à moins de 60 km des côtes. Mais paradoxalement, la mer est pensée comme un merdorado mythifié plutôt que comme un meritoire. Jean Ollivro nous invite à dépasser une représentation trop terrienne de la mer pour explorer les océans dans leurs cinq dimensions : la surface et le dedans bien-sûr, mais aussi l’au-dessus, le plancher et le sous-sol. Un système complexe et vivant qu’il nous appartient d’appréhender sous toutes ses facettes pour bâtir un véritable projet mer.
(suite…)
20 Mai 2016 | Actualités
Article publié dans Ouest-France du 18 mai
L’entrepreneur morbihannais Alain Glon, associé à une université chinoise, vient d’ouvrir, dans le Shandong, une usine pilote, vitrine du savoir-faire français en matière de nutrition animale.
Si des Chinois investissent en Bretagne, comme Synutra, fabricant de poudre de lait à Carhaix, des industriels bretons savent aussi partir à la conquête des énormes potentialités du marché agroalimentaire chinois. « Si on ne va pas à la Chine, c’est la Chine qui viendra à nous… », pronostique Alain Glon.
L’ancien dirigeant du groupe Glon-Sanders, leader français de l’alimentation animale, connaît l’Asie de longue date. Au-delà de contacts commerciaux, il y a aussi noué, au fil du temps, de solides « relations humaines », dans le Shandong notamment, la province chinoise jumelée à la Bretagne, et, comme elle, grande région d’élevage.
L’intégralité de l’article
6 Mai 2016 | Actualités
Par Guewen Sausseau sur http://www.eco-bretons.info/
Depuis près deux ans, en pays de Rance, et particulièrement autour de Dinan (22), on peut payer ses achats en Maillette. Cette monnaie locale complémentaire compte désormais une centaine d’utilisateurs et une cinquantaine de prestataires.
Le 17 mai prochain, la Maillette fêtera ses deux ans. Deux ans que cette monnaie locale complémentaire est en circulation mais, avant ça, il aura fallu deux ans et demi pour la mettre en place. « Il y a eu beaucoup de discussion, beaucoup de débat, autour du comment mais surtout du pourquoi une monnaie locale complémentaire », explique Gérard Mary, membre du collectif qui gère la Maillette, avant d’ajouter : « On s’est donné du temps pour répondre à ces questions quasi philosophiques ».
L’intégralité de l’article