Le Gouessant. « La production aquacole, c’est un des piliers de l’entreprise. »

Le Gouessant. « La production aquacole, c’est un des piliers de l’entreprise. »

L’entreprise Le Gouessant implantée à Lamballe (Côtes-d’Armor) produit des aliments aquacoles depuis 30 ans. Lundi 1er mars, le groupe costarmoricain a fait l’acquisition de l’usine aquacole Aqualia située dans les Landes.

Hervé Irdel est directeur du développement international et aquaculture du groupe costarmoricain Le Gouessant, il revient sur l’acquisition de l’usine aquacole Aqualia située dans les Landes. « Depuis 30 ans, le groupe produit de la nourriture pour les poissons. Cela fait partie de notre politique de diversification. C’est un des piliers de l’entreprise. Cette acquisition va nous permettre de doubler notre capacité de production, passant de 25 000 à 50 000 tonnes par an. Le Gouessant est le premier en France en termes de quantité de contrats avec des cahiers des charges stipulant les attentes précises de nos clients comme le bio par exemple…

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Article de Adeline Piron publié sur ouest-france.fr

 

Une plateforme pour les métiers de la mer

Une plateforme pour les métiers de la mer

L’association Breizhmer lance un site internet pour faciliter les recrutements des entreprises des filières de la pêche et de l’aquaculture.

« Armement breton Roscoff, recherche (CDI) matelot ramendeur expérimenté, volontaire et sérieux pour des marées de 7 jours en pêche au large sur chalutiers de fond de 24 m ; diplômes obligatoires : certificat matelot pont, certificat matelot pont option pêche ; date d’embauche : 29/03/2021 ; temps plein ; salaire à la part. » Voilà l’une des premières annonces mises en ligne sur le site www.breizhmer-emploi.bzh.

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Article de Serge Poirot publié sur ouest-france.fr

Une nouvelle école Diwan à Notre-Dame des Landes en projet

Une nouvelle école Diwan à Notre-Dame des Landes en projet

Lancé en 2019, ce projet d’école immersive en langue bretonne est allé de l’avant, malgré la crise sanitaire actuelle. Aujourd’hui, tous les facteurs sont réunis afin d’ouvrir l’école : nombre d’enfants pré-inscrits, mobilisation bénévole forte, contrat signé avec le réseau Diwan…

Trouver un lieu d’implantation pour l’école reste difficile malgré plusieurs contacts avec les collectivités locales. Le comité de soutien cherche donc des solutions alternatives. Pour cela il a besoin de lever des fonds à hauteur de 12.000 € pour permette l’achat de 2 classes modulaires, de payer le transport et la préparation d’un terrain pour pouvoir ouvrir l’école en septembre 2021. Ce ne sera pas facile, mais la motivation est là ! Vous pouvez contribuer au projet.

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Océanopolis décline son application mobile en langue bretonne

Océanopolis décline son application mobile en langue bretonne

L’application « myOcéanopolis » est désormais disponible en langue bretonne. À Brest (Finistère), l’application de visite virtuelle du Centre de culture scientifique, technique et industrielle (CCSTI) dédié à l’océan est désormais disponible en quatre langues : français, anglais, allemand et breton. Fiskal eo ! (« C’est génial ! », en breton).

Le premier équipement touristique breton est le Centre de culture scientifique, technique et industriel (CCSTI) dédié à l’océan : Océanopolis, à Brest (Finistère).

Pour célébrer le Mois du breton (Mizvezh ar brezhoneg, en breton dans le texte), le CCSTI annonce, dans un communiqué opportunément bilingue, « proposer du contenu en langue bretonne dans sa nouvelle application mobile de visite ».

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Article publié sur ouest-france.fr

Redon. Le Campus Esprit Industries veut créer des vélos à hydrogène vert

Redon. Le Campus Esprit Industries veut créer des vélos à hydrogène vert

Dimanche 21 mars, devant la mairie de Redon (Ille-et-Vilaine), le responsable de l’École supérieure de logistique industrielle (ESTI), Gabriele Tosatti, a présenté le départ de la 4e étape du Tour, mais aussi des vélos à hydrogène.

L’École supérieure de technologie industrielle (ESTI) est la plateforme technologique du Groupement d’Intérêt Public (GIP) Campus Esprit Industries dédiée aux métiers de l’électronique, de la transition énergétique et des mobilités durables.

Son responsable, Gabriele Tosatti, souligne que l’obtention, en 2020, d’un programme d’investissement Avenir (PIA 3), soutenu par la Région et Redon Agglo, a permis d’investir dans un écosystème de production d’hydrogène vert pour les mobilités douces et la logistique du dernier kilomètre.

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Article publié sur ouest-france.fr

Cet été, un Tro Breizh des artistes pour relancer la culture

Cet été, un Tro Breizh des artistes pour relancer la culture

La société Spectaculaires-Allumeurs d’images, près de Rennes, va proposer cet été un barnum ambulant sur les routes bretonnes. Chaque soir, à la nuit tombée, des artistes revisiteront à leur manière l’histoire de la Bretagne.

Connue pour ses projections et ses mises en lumières sur les façades de grands édifices, en France et à l’international, la société bretonne Spectaculaires-Allumeurs d’images a vécu une année au ralenti. Cette entreprise implantée à Saint-Thurial (Ille-et-Vilaine), près de Rennes, était d’ailleurs à Saint-Malo, le 17 mars, pour manifester aux côtés des autres professionnels de l’événementiel paralysés par la crise sanitaire.

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Article d’Olivier Berrezai publié sur ouest-france.fr

Rennes : elles lancent un projet de laverie mobile pour les sans-abris

Rennes : elles lancent un projet de laverie mobile pour les sans-abris

Camille et Alexine, deux étudiantes, mettent au point un camion équipé de lave-linges et sèche-linges qui va au contact des SDF. Un projet sélectionné pour un concours national.

Laver son linge est l’un des principaux obstacles auquel sont confrontés les sans-abris au quotidien. Les structures ne sont pas forcément adaptées en terme d’horaires et d’organisation, et les lavomatiques proposent des prix prohibitifs pour les plus démunis. C’est ce qui a poussé Camille et Alexine, deux Rennaises de 25 ans, de mettre au point une laverie mobile.

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Article de Timothée L’Angevin publié sur actu.fr

 

Ludik Énergie (35). Sa borne à pédales pour recharger les téléphones séduit les lycéens bretons

Ludik Énergie (35). Sa borne à pédales pour recharger les téléphones séduit les lycéens bretons

L’aventure a démarré en 2018, lorsque Matthieu Pénet, dirigeant de Ludik Énergie à Rennes, lance la commercialisation d’Ilo, un système original et ludique de bornes à pédale pour recharger les téléphones de manière écoresponsable. « Nous avons souhaité transformer le besoin de recharger son téléphone en une activité ludique qui fédère autour de valeurs positives. » 191 bornes ont été vendues à ce jour en France et 39 établissements (lycées et universités) en sont équipés.

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Article de Véronique Maignant publié sur bretagne-economique.com

A l’abandon, la forêt de Ploërdut va renaître avec la plantation de 60.000 arbres

A l’abandon, la forêt de Ploërdut va renaître avec la plantation de 60.000 arbres

Le fournisseur Ovo Energy France s’est associé à la start-up bretonne EcoTree pour financer le reboisement d’une parcelle forestière de 11,6 hectares.

S’étalant sur 11,6 hectares dans le centre de la Bretagne, la forêt de Ploërdut près de Pontivy (Morbihan) n’est pas en bonne santé. Laissée à l’abandon depuis plusieurs années par un propriétaire ne sachant qu’en faire, elle est même sérieusement dégradée. Cela n’est malheureusement pas une exception en France, où près des trois-quarts des forêts sont détenues par des particuliers.

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Article de Jérôme Gicquel publié sur 20minutes.fr

 

Langue bretonne. La course Redadeg aura bien lieu en mai

Langue bretonne. La course Redadeg aura bien lieu en mai

La Redadeg aura bien lieu du 21 au 29 mai 2021. L’an dernier, la course de relais qui promeut la langue bretonne a été annulée en raison de la crise sanitaire. Ce tour de Bretagne à pieds est normalement organisé tous les deux ans.

134 000 € récoltés en 2018

Chaque kilomètre est vendu à des particuliers, associations ou entreprises et sert à soutenir la langue bretonne. Depuis sa création en 2008, les recettes de la course ne font qu’augmenter : 50 000 € récoltés en 2008, 134 000 € en 2018. Avant la crise sanitaire, à chaque kilomètre, une personne prenait le bâton témoin contenant un message en breton. Ce message et son auteur étaient gardés secrets jusqu’à l’arrivée et lu sur scène devant le public.

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Article publié sur ouest-france.fr