La marque Prince de Bretagne va doubler sa production de légumes bio

La marque Prince de Bretagne va doubler sa production de légumes bio

Prince de Bretagne certifiera 100 % de ses exploitations en Haute valeur environnementale (HVE) d’ici à 2022, vient d’annoncer la marque maraîchère bretonne. Actuellement, Prince de Bretagne compte 25 % de maraîchers plein champ et 50 % de maraîchers sous abri certifiés HVE. Deux chiffres qu’elle se projette de doubler en 2021, afin d’atteindre la pleine HVE en 2022.

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Article de Christophe Violette publié sur ouest-france.fr

Il milite pour la création d’une filière de chanvre thérapeutique

Il milite pour la création d’une filière de chanvre thérapeutique

Au XVIIIe siècle, la Bretagne était recouverte de champs de chanvre qui servait à confectionner des cordages, des vêtements, des voiles… Aujourd’hui, la région n’en compte plus que quelques dizaines d’hectares. L’autorisation du chanvre pour des usages thérapeutique et bien-être, pourrait changer la donne. Pierre-Yves Normand milite dans ce sens depuis Quimper (Finistère).

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Article d’Adèle Leberre publié sur actu.fr

The Land, 1er campus hybride européen dédié à la Nouvelle Ruralité

The Land, 1er campus hybride européen dédié à la Nouvelle Ruralité

La Nouvelle Ruralité invente de nouveaux modèles économiques et sociaux plus décentralisés, plus collaboratifs et plus équitables, capables de régénérer les territoires. Elle s’incarne aujourd’hui dans un campus hybride décliné sur 3 sites bretons (Rennes, Vitré et La Guerche de Bretagne), lieux d’expérimentations sociétales inédites et de rencontres décloisonnées où vous croiserez lycéens et étudiants (accédant ainsi à plus de 40 formations et 200 métiers) mais aussi entrepreneurs, startupeurs, chercheurs et artistes en résidence.

A découvrir sur the-land.bzh

Le Gwell à l’ancienne, ce gros lait fermenté breton, veut son AOP

Le Gwell à l’ancienne, ce gros lait fermenté breton, veut son AOP

La recette traditionnelle du Gwell, ce gros lait fermenté breton, élaboré à la ferme ou à la maison, a été retrouvée en 1981, raconte Stanislas Lubac. Un collectif de quelques producteurs laitiers s’est passionné pour les vertus de ce gros lait, à l’usage encore très confidentiel. Mais les produits ont plu : qu’il soit nature, sucré et salé, les consommateurs en voulaient. Jusqu’à déposer la marque à l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi) en 1993.

Voilà un an tout juste, ils ont fondé leur association, présidée par Nicolas Guérin, éleveur à Donges (Loire-Atlantique), qui réunit quinze producteurs dans toute la Bretagne.

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Article de Christophe Violette publié sur ouest-france.fr

La plus petite usine française de pulls marins tricote une nouvelle maille de son histoire

La plus petite usine française de pulls marins tricote une nouvelle maille de son histoire

Depuis 1986, Dominique et Isabelle Josselin confectionnent des pulls marins dans les Côtes d’Armor. C’est un couple de trentenaires en reconversion qui va poursuivre l’histoire de leur entreprise. Une transmission en douceur pour assurer la pérennité de la marque « Baie de Caps ».

« Monsieur Josselin était le patron, il est devenu salarié et moi, je suis patron mais je suis un apprenti ». Dans un sourire, Geoffroy de Pinieux décrit la situation peu banale que vit l’entreprise « Baie des Caps » depuis mai 2019. Mai 2019, une date qui marque pour les Josselin comme les Pinieux le début d’une nouvelle vie.

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Article de Nathalie Rossignol publié sur France3-bretagne

Vers une fédération sportive de Bretagne. De tous les sports

Vers une fédération sportive de Bretagne. De tous les sports

Ti ar Vro à Vannes a connu, le 17 octobre, un événement majeur, mais encore discret, pour la cohésion de la Bretagne. La Fédération sportive bretonne (FSB) a tenu son assemblée générale de lancement opérationnel.

Un événement phare, en juillet 2022, se déroulera le long du canal de Nantes à Brest.

Son président, Gérard Sancéau jubile. Son pari est en route. Créer de toutes pièces une fédération multisports, la FSB : voir son site. Il rappelle qu’un club peut être affilié à deux fédérations, en l’occurrence à la Fédération française de son sport, et à la FSB. Tous les clubs de tous les sports, qu’il s’agisse de karaté ou de hand-ball par exemple, peuvent donc adhérer à la FSB.

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Article de Didier Lefebvre publié sur abp.bzh

Lilo : financer (un peu) la Bretagne en faisant des recherches sur Internet

Lilo : financer (un peu) la Bretagne en faisant des recherches sur Internet

Avec 92,4 % du marché, le moteur de recherche Google est pour le moins en situation de monopole en France.  Or, avec des résultats comparables, d’autres moteurs de recherche existent. Ils sont éthiques, écologiques, solidaires et fleurissent en proposent des alternatives fiables. Ils permettent, en faisant des recherches identiques, de sponsoriser quelque peu et à différentes échelles (internationale, nationale, régionale, locale) des actions semblant utiles.

Parmi ces moteurs, on portera ici la focale sur Lilo. Grâce aux recherches des internautes, ce moteur de recherche solidaire a, depuis 2015, reversé 3 110 763 Euros  à des associations internationales, nationales, régionales, locales, parfois aussi à des personnes souffrant par exemple de maladie rare. Le moteur est donc une caisse de solidarité. C’est un des seuls où l’on peut choisir d’attribuer des gouttes d’eau pour soutenir des projets d’associations présentes en Bretagne ou non. D’une part, le moteur s’engage à ne pas utiliser les données de recherche, est donc plus confidentiel (« Lilo ne collecte ni ne revend vos données personnelles »). D’autre part, son mérite est d’être très simple de téléchargement et d’usage, et d’avoir aussi « ses moteurs de recherche hébergés en France ». Chaque recherche effectuée correspond à une goutte d’eau représentant quelques micro-centimes. Mais le crachin breton fait parfois des rivières.

Ainsi, en 2020, au moins 61 000 Euros ont été par ce principe récoltés pour des associations bretonnes ou présentes en Bretagne. Le bilan effectué ci-dessous n’est pas exhaustif, d’autant que des associations n’évoquent pas le lieu ou l’échelle géographique de leurs actions. Que d’autres (la SPA, le Secours populaire par exemple, la Fondation Abbé Pierre, Terres de Liens qui a déjà récolté 53 145 Euros, la revue Reporterre avec 32756 Euros, le mouvement des AMAP, Emmaüs, Surfrider avec 10324 Euros, etc.) agissent bien sûr en Bretagne. Il permet toutefois d’avoir des exemples de financements effectués au 22 octobre 2020.

LPO Loire-Atlantique : 477 Euros Diwan Savenay : 506 Euros
Breizhicoop (supermarché coop. à Rennes) : 751 Euros Rescue Bretagne  (protéger la faune et la flore locale, stérilisation chats errants et mise en place d’espaces protégés) : 309 Euros
Galléco (monnaie locale Ille-et-Vilaine) : 2511 Euros- Vigil’Oust. Préservation environnemental pour les communes concernées par le permis d’exploitation des recherches minières en Bretagne : 156 Euros
Diwan Savenay : 506 Euros 1 toit, 2 générations Côtes d’Armor : 185 Euros
Utopia 56 : association morbihannaise de 2015 pour les réfugiés de Calais, Paris… : 10195 Euros P’tits Korrigans (protection animale en Bretagne) : 1750 Euros
La CPIE. Maison de la nature à Belle-île-en-mer : 63 Euros SPA de Vannes  98 Euros
Des idées plein la Terre (éducation environnement pays de Saint-Malo) : 611 Euros Les p’tits doudous (améliorer la vie des enfants avant d’être opérés, Rennes) : 365 Euros
SPA de Pontivy et de sa région : 58 Euros Le Buzuk, la monnaie locale qui recrée du lien (Trégor) : 200 Euros
La Bidouillerie (Rennes). Organisation de colonie de vacances écocitoyenne : 7773 Euros ABCD pour tous (Ille-et-Vilaine). Aide aux enfants défavorisés nord Thaïlande : 12898 Euros
Regards de mômes (Bécherel). Agitateur de culture en milieu rural : 4574 Euros Village Saint-Joseph (Plounévez-Quintin). Accueil d’hommes et de femmes en difficulté : 11749 Euros
Eau et Rivières de Bretagne : 5238 Euros Bretagne Vivante : 1435 Euros

Bretagne Prospective, 22 octobre 2020. Source Lilo.org/les projets

Ces sommes très variables (Utopia 56 est à plus de 10 000 Euros récoltés) dépendent d’une part de la notoriété des associations. Mais aussi de l’ancienneté de leur inscription. Par exemple Bretagne Vivante vient seulement d’être, il y a quelques mois, référencée sur le site. Mais les recherches d’internautes lui apportent 10 ou 20 Euros par jour et elle est en est déjà à 1435 Euros récoltés. C’est toujours ça de pris. Le potentiel de ces nouveaux moteurs de recherche n’est donc pas négligeable. Un levier restant aussi l’information puisque ces « nouveaux moteurs éthiques et gratuits », pour lequel Lilo est en tête, ne regroupent que 7,6 % des usagers. Même modestement, nos recherches sont des ressources. Ont une valeur parfois exploitée de façon marchande (profilage du « consommateur », revente des données, etc.). Il existe aujourd’hui plusieurs solutions pour limiter ce souci en contribuant à telle ou telle initiative.

J.O. Bretagne Prospective

Le site lilo

Quel avenir pour l’algoculture en Bretagne ?

Quel avenir pour l’algoculture en Bretagne ?

La production française de macroalgues a été de 80 000 tonnes en 2019 et ce sont principalement des algues récoltées en mer en Bretagne et pas des algues d’élevages (algoculture). Ces algues qui sont récoltées par les goémoniers sont principalement des laminaires qui servent avant tout dans l’industrie alimentaire pour la fabrication des gélifiants que l’on retrouve partout jusque dans nos glaces. Ces algues entrent aussi dans les aliments pour le bétail et dans les engrais. A noter qu’au début du 20e siècle, on en était à 120 000 tonnes par an. La production a énormément baissé après 1950 et la profession de goémonier avait presque disparu ! Le goémon entrait autrefois dans la fabrication du verre, des explosifs puis de l’iode (la teinture d’iode). Dès le 16e siècle on construisait sur le littoral du Finistère des fours à soude pour fabriquer des pains de soude.

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Article de Philippe Argouarch publié sur abp.bzh

Des nouvelles communes s’affichent pour la Bretagne à 5 départements

Des nouvelles communes s’affichent pour la Bretagne à 5 départements

L’écosystème de l’Association “Breizh 5/5” (#EcosystèmeBreizh5sur5) continue de s’enrichir. Quatre nouvelles communes s’affichent pour la Bretagne à 5 départements : Spézet, Trégastel, Languidic et Saint-Caradec.

Aujourd’hui, ce sont 75 communes, 303 panneaux et de nombreux partenaires culturels et économiques, sans compter tous les Breton[ne]s qui s’affichent “Breizh 5/5″.

Avec 472 000 habitants, la population cumulée des communes “Breizh 5/5″ a nettement dépassé celle de la métropole rennaise (427 000 habitants).

Le site