Quimper : des cours de breton ont lieu dans un bar !

Quimper : des cours de breton ont lieu dans un bar !

L’épidémie de Covid-19 aura donné lieu à des situations insolites ! Depuis quelques semaines, à Quimper (Finistère), des cours de breton pour adultes ont lieu au bar La Baleine déshydratée dans le quartier de Locmaria.

Mervent, un établissement de formation à la langue bretonne, n’a guère eu le choix. Son directeur, Yannick Menguy, a dû trouver des solutions. « Nos cours avaient lieu à l’IUT mais les locaux ont fermé fin octobre avec l’instauration du 2e confinement. »

Dans un premier temps, Mervent se rabat sur l’École de broderie de Pascal Jaouen à Quimper. Mais la salle mise à disposition s’avère trop petite.

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Article de Matthieu Gain publié sur actu.fr

Un vœu : 2+0+2+1 = 5

Un vœu : 2+0+2+1 = 5

Cela fait maintenant des décennies que les Bretons demandent pacifiquement que l’on résolve enfin un simple problème administratif et rien ne bouge. Rien ne bouge car, au bénéfice de Paris, on vit dans un des pays les plus centralisés au monde. Rien ne bouge car une pyramide immobile tient dans une main de fer un pays lui aussi considéré comme immobile, qui serait aussi lent que la bureaucratie sauf pour dégainer des interdits. Sauf que la Bretagne veut vivre, promouvoir un essor en lien avec son identité, son histoire, sa culture, pour tout dire son originalité territoriale. Que signifie ce blocage surréaliste sinon une volonté toujours plus vive de dire qui est le maître, qui doit au final décider. (suite…)

La marque Vrai interroge les consommateurs et les producteurs

La marque Vrai interroge les consommateurs et les producteurs

Pour repositionner sa marque bio Vrai, Triballat Noyal a organisé une consultation pour répondre « aux vraies questions » des consommateurs et des producteurs.

Du 1er juin au 31 juillet 2020, la marque de produits laitiers bio Vrai a ouvert une consultation sur la plate-forme web Lesvraiesquestions.com

Consommateurs, producteurs et salariés étaient invités à poser leurs questions sur les produits Vrai (ultra-frais vache, brebis, chèvre, fromages, crème fraîche). « Triballat Noyal est pionnier des produits laitiers biologiques », rappelle Sonia Jolly, chef de groupe Bio chez Triballat Noyal.

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Article de Véronique  Bargain publié sur réussir.fr

 

 

Alsace : La Collectivité européenne a élu son premier président

« Maintenant, c’est parti ! L’Alsace est de retour » : la Collectivité européenne d’Alsace (CEA), née officiellement le 1er janvier, a élu samedi à Colmar le premier président de son histoire, le LR Frédéric Bierry, seul candidat. Ancien président du Conseil départemental du Bas-Rhin, qui fusionne avec celui du Haut-Rhin dans la CEA, Frédéric Bierry a été élu haut la main par 75 voix sur 79 votants.

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Article publié sur 20minutes.fr

Kenavo bloaz kozh milliget : souhaitez la bonne année en breton !

Kenavo bloaz kozh milliget : souhaitez la bonne année en breton !

Bloavezh mat ha yec’hed mat ! C’est sûr, on va l’entendre souvent dans les prochains jours. Mais en breton, il y a bien plus original que le traditionnel « Bonne année et bonne santé » ! Pour varier les plaisirs, voici quelques « hetoù bloaz nevez ».

Poent eo dit bloaz kozh milliget mont d’an toull ez peus meritet ! Le début de cette chanson bretonne, Noz Kalanna, est fort à propos en ce début d’année 2021 : « Il est temps pour toi vieille année maudite d’aller dans le trou que tu as mérité », et tralala lala.

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Article publié sur francebleu

L’incroyable épopée des écoles Diwan

En 1977, cinq familles décidaient de créer une école où tous les cours étaient donnés en breton. Aujourd’hui, 4000 élèves suivent un tel enseignement.

On dira qu’avec de tels prénoms, leur destin était écrit. En 1977, Alan, Glen, Gwenaelle, Onenn et Yann sont les cinq premiers élèves de l’école maternelle de Lampaul-Ploudalmezeau, dans le Finistère ; les tout premiers à suivre une scolarité non pas en français, mais en breton. Malgré les sourires narquois, les hostilités larvées, les craintes sincères, les propos définitifs assénés à leurs parents : « Vous êtes fous ! Vos enfants ne sauront jamais parler français ! »

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Article de Michel Feltin-Palas, L’Express

« Des idées pour ma Terre » : ces personnalités lancent un défi écolo aux écoliers bretons

« Des idées pour ma Terre » : ces personnalités lancent un défi écolo aux écoliers bretons

Anne Quéméré, François Gabart et Jean Jouzel soutiennent le challenge « Des idées pour ma Terre ». Ils lancent un véritable défi aux écoliers bretons : nous apprendre des gestes simples et efficaces pour mieux agir au quotidien, mieux consommer et contribuer à protéger la planète.

Ils sont climatologue, navigateur et aventurière de l’extrême. Jean Jouzel, Anne Quéméré et François Gabart ont tous les trois été en confrontation directe avec les effets du changement climatique ou la pollution. Convaincus que chaque geste compte, ils soutiennent aujourd’hui le défi « Des idées pour ma Terre », organisé à destination des écoliers du CP au CM2.

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Article publié sur ouest-france.fr

Bloavezh mat !

Bloavezh mat !

Hetiñ a ra skipailh Breizh Diawel ur bloavezh mat deoc’h

L’équipe de Bretagne Prospective vous souhaite une bonne année

Dans le Morbihan, la première liaison maritime à la voile verra le jour au printemps 2021

Dans le Morbihan, la première liaison maritime à la voile verra le jour au printemps 2021

Quatre entrepreneurs, marins professionnels, créent la première liaison maritime à la voile. Celle-ci verra le jour au printemps 2021 et reliera Quiberon à Belle-Île.

Une traversée douce et décarbonée sur un catamaran conçu pour accueillir jusqu’à cinquante passagers. Tel est le projet « Iliens » porté par quatre entrepreneurs implantés à Plouharnel dans le Morbihan.

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Article publié sur actu.fr

Politique linguistique : il est temps de vouloir !

Politique linguistique : il est temps de vouloir !

La loi Paul Molac vient d’être votée par le Sénat. C’est une étape sur le chemin de la généralisation de la proposition d’enseignement de nos langues, et de l’immersion. Il faut encore que ce travail trouve sa concrétisation par une adoption définitive à l’Assemblée nationale. Nos députés devront être fortement mobilisés et répondre présent, pour passer outre le refus gouvernemental.

Il va de soi que ce travail législatif imposant ne dispensera pas nos responsables politiques de faire preuve d’une volonté sans faille pour développer l’enseignement de nos langues et sortir du marasme actuel.

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Article d’Yvon Ollivier publié sur abp.bzh