Coop Breizh : producteur, éditeur et distributeur de cultures en Bretagne

Coop Breizh : producteur, éditeur et distributeur de cultures en Bretagne

Coop Breizh est une entreprise bretonne née en 1957 sous la forme d’une association 1901, filiale de Kendalc’h. D’abord à Rennes, puis à La Baule dans le sud de la Bretagne. Enfin ce sera Speied/Spézet au coeur des Montagnes Noires du Kreiz Breizh, en Bretagne Occidentale. En plus de soixante années d’existence, Coop Breizh, devenue société anonyme de type mutualiste, aura vécu des hauts et des bas.
S’il n’y a qu’un seul nom à retenir de cette belle histoire qui continue et se développe, c’est celui de Yann GOASDOUE. Dont le patronyme breton signifie Homme de Dieu en langue française. Car c’est la détermination de Yann GOASDOUE qui permettra à Coop Breizh de traverser des années parfois tumultueuses.

L’intégralité de l’article

Article de Rémy Penneg publié sur nhu.bzh

Breizhicoop. Le supermarché coopératif et participatif de Rennes

Breizhicoop. Le supermarché coopératif et participatif de Rennes

Dans le quartier du Blosne à Rennes se trouve un supermarché un peu différent… Il s’agit de Breizhicoop. Dans ce supermarché 100 % coopératif et participatif, les adhérents sont à la fois propriétaires de parts sociales, travailleurs bénévoles et également… clients ! Mais ce n’est pas tout. En échange de trois heures de travail bénévole par mois, les adhérents peuvent se nourrir de produits locaux, souvent issus de l’agriculture biologique et ce, proposé au prix d’équilibre, aussi bien pour les producteurs que les consommateurs.

L’intégralité de l’article

Article de Lucie Le Strat publié sur eco-bretons-info

L’Usine Agro du Futur : BDI lance une enquête

L’Usine Agro du Futur : BDI lance une enquête

Dans le cadre du programme régional Usine Agro du Futur, Bretagne Développement Innovation vient de lancer une enquête auprès des industries agroalimentaires et des équipementiers de la filière. BDI a été en effet missionnée en 2019 pour développer un programme, l’Usine agroalimentaire du futur, sur 3 ans visant à accentuer la modernisation de l’outil industriel agroalimentaire. Cet axe s’inscrit dans la dynamique : innover et bien produire pour contribuer à faire rayonner « la Bretagne du bien manger ».

L’intégralité de l’article

Article publié sur agro-media.fr

Pascal Jaouen : le styliste brodeur breton ouvre son école à Pontivy

Pascal Jaouen : le styliste brodeur breton ouvre son école à Pontivy

Pascal Jaouen, le talentueux styliste et brodeur breton, ouvrira sa 26e école de broderie d’art, à Pontivy (Morbihan), vendredi 18 octobre, au Centre de loisirs.

À la fin du printemps 2018, le « brodeur bleu » du Finistère avait marqué les esprits avec la présentation de sa collection  « Gwenn ha Du » dans les locaux de l’ancien tribunal de Pontivy.

L’intégralité de l’article

Article paru sur Pontivy journal

Économie vivante : la culture du blé noir en Bretagne

Économie vivante : la culture du blé noir en Bretagne

Un séjour en Bretagne sans passer par la case « dégustation galette de blé noir complète + crêpe « caramel beurre salé » + bolée de cidre », n’est pas un véritable séjour en Bretagne. Là où l’on s’étonne un peu, c’est que les galettes bretonnes ne sont pas 100% locales : 70 % du sarrasin utilisé dans les crêperies de la péninsule est importé de Russie ou même de Chine ! Réinstaurer la culture du blé noir en Bretagne, voilà la mission que s’est donnée ViVaTerr, pour revitaliser l’économie bretonne.
La Bretagne consomme 3,5 fois plus de blé noir que la moyenne française : 11.000 tonnes par an. Pour autant, elle n’en produit que 3.000 tonnes : ce scoop est une nouvelle illustration des conséquences absurdes de l’économie financière. De 370.000 hectares de sarrasin dans les années 1900, la production bretonne est tombée à quelques centaines d’hectares en 1980, au profit de cultures à fort rendement comme le blé, l’orge et le maïs.

L’intégralité de l’article

Article publié sur ecologiehumaine.eu

Kervignac. Développer le breton dans la vie de tous les jours

Kervignac. Développer le breton dans la vie de tous les jours

Une charte a été signée entre l’école de musique Sonam’et l’Office public de la langue bretonne marquant l’engagement de l’association en faveur de la labellisation Ya d’ar Brezhoneg.

L’école de musique Sonam’est issue de l’école de musique traditionnelle EMTK, qui était caractérisée par l’enseignement d’instruments de musique et de chant liés à la tradition bretonne.

L’intégralité de l’article

Article publié sur ouest-france.fr

L’association Savoir-faire des îles du Ponant est née en Bretagne

L’association Savoir-faire des îles du Ponant est née en Bretagne

Le 20 septembre 2019 constituera une date importante pour les îles du Ponant avec la création de la marque Savoir-faire des îles du Ponant. Issu de la réflexion entre le travail universitaire de Louis Brigand, géographe, chercheur auprès de l’Université de Bretagne Occidentale et les membres de l’AIP (Association des îles du Ponant), et en collaboration avec une quarantaine de professionnels des îles, des élus et l’appui de la marque Produit en Bretagne, le projet connaît aujourd’hui son véritable envol.

L’intégralité de l’article

Article publié sur ouest-france.fr

« Densifier Rennes se traduit par une délocalisation de l’étalement urbain »

« Densifier Rennes se traduit par une délocalisation de l’étalement urbain »

Ana Sohier est élue de l’UDB à Rennes, déléguée au patrimoine et à la politique linguistique. Récemment, elle publiait une tribune dans Ouest-France au sujet de l’urbanisme et de ses conséquences sociales.

Le Peuple breton : Il y a peu, vous publiiez une tribune sur Ouest-France à propos de l’urbanisation et du patrimoine à Rennes. Pourquoi ces thèmes ?

Ana Sohier : D’abord parce que je suis déléguée au patrimoine et qu’il est nécessaire d’alerter quand on voit que l’urbanisation commence à empiéter sur l’équilibre entre le bâti ancien et le contemporain. Nous ne sommes pas obligés de subir la banalisation architecturale et de la standardisation du logement propre à nos sociétés contemporaines. Ce n’est pas une fatalité !

L’intégralité de l’article

Interview d’Ana Sohier publiée sur lepeuplebreton.bzh