3 Sep 2022 | Actualités
Se réapproprier la langue bretonne en 6 ou 9 mois est possible grâce aux formations dispensées par 5 organismes agréés par la Région Bretagne. Il existe des sites de formation un peu partout en Bretagne (Brest, Carhaix, Guingamp, Landerneau, Lannion, Lorient, Nantes, Quimper, Rennes Saint-Brieuc, Vannes…) et les sessions commencent chaque année en septembre et en janvier.
Les formations peuvent être prises en charge par la Région pour les demandeurs d’emploi sous certaines conditions. Les salariés peuvent quant à eux faire valoir leur droit à la formation professionnelle ou à la reconversion professionnelle pour obtenir des financements.
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Texte publié sur bretagne.bzh
26 Juil 2022 | Actualités
Chaque année, Produit en Bretagne distingue ses “ambassadeurs de la langue bretonne” parmi les membres du réseau. Ils se sont illustrés par leurs initiatives en faveur du breton dans la vie économique.
Deux entreprises ont été désignées pour cette édition du Prix : Carabreizh et Treebal.
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Article publié sur abp.bzh
13 Jan 2022 | À la une
Parler breton et en faire sa langue de travail, c’est possible ! En Bretagne, plusieurs organismes proposent des formations intensives de 6 à 9 mois pour acquérir de solides compétences en langue bretonne, et qui permettent de prétendre à de nombreux postes. Ces formations peuvent être soutenues par la Région.
En Bretagne, la maîtrise du breton est un réel atout qui peut ouvrir de nouveaux horizons professionnels. Et les opportunités sont nombreuses ! L’Office de la langue bretonne estime en effet que 1600 postes équivalent temps plein exigent cette compétence.
Le principal débouché est celui de l’enseignement, mais il existe également des besoins dans la gestion de structures (direction, secrétariat, comptabilité…), les médias, les collectivités territoriales… Le secteur de la petite enfance a aussi créé des postes pour les brittophones ces dernières années.
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Texte publié sur le site
23 Avr 2021 | À la une
Denez (Prigent) chante – en breton – sur tous les continents, mais ne passe quasiment jamais à la télévision dans son propre pays. « Je n’ai rien contre le français, explique-t-il. En revanche, certains voudraient que je ne sois que français. Là, je dis non. » Entretien.
Chanter en langue régionale n’est pas l’idéal pour faire carrière, sauf, apparemment, quand on a le talent de Denez. Cet artiste étonnant parvient à donner – en breton – des concerts à Paris, en Ecosse, en Espagne, en Allemagne, au Québec, au Kazakhstan, en Chine… L’un de ses titres a même été repris par le réalisateur Ridley Scott (Alien, Blade Runner…) dans son film La chute du faucon noir.
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Chronique de Michel Feltin-Palas
30 Déc 2020 | Actualités
En 1977, cinq familles décidaient de créer une école où tous les cours étaient donnés en breton. Aujourd’hui, 4000 élèves suivent un tel enseignement.
On dira qu’avec de tels prénoms, leur destin était écrit. En 1977, Alan, Glen, Gwenaelle, Onenn et Yann sont les cinq premiers élèves de l’école maternelle de Lampaul-Ploudalmezeau, dans le Finistère ; les tout premiers à suivre une scolarité non pas en français, mais en breton. Malgré les sourires narquois, les hostilités larvées, les craintes sincères, les propos définitifs assénés à leurs parents : « Vous êtes fous ! Vos enfants ne sauront jamais parler français ! »
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Article de Michel Feltin-Palas, L’Express