Un habitant de Loudéac a créé une appli très sympa pour les amoureux de la langue bretonne

Un habitant de Loudéac a créé une appli très sympa pour les amoureux de la langue bretonne

Kristen Tonnelle, bien connu à Loudéac comme animateur bretonnant de la médiathèque, est aussi un informaticien amateur doué !

Depuis février dernier, son appli « Kej-Mesk », un jeu de lettres mêlées en breton, est disponible pour les smartphones.

Il s’agit de reconstituer tous les mots en breton possibles à partir d’une grille de lettres générée aléatoirement. Ceux qui l’ont essayé sont unanimes, c’est très addictif !

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Article de Yann Scarvada publié sur actu.fr/bretagne

Langue bretonne. Le cri d’alarme des associations

Langue bretonne. Le cri d’alarme des associations

Pour les associations de défense de la langue bretonne, si l’on veut encore entendre parler breton dans la région, il faudrait former 5 000 nouveaux locuteurs par an, contre 500 actuellement. Dénonçant l’inaction du Conseil régional de Bretagne, elles ont établi un plan d’actions. Elles espèrent être entendues par les élus.

« Que la langue bretonne soit toujours en vie est un miracle. » C’est un véritable cri d’alarme que relaie Fulup Kere, directeur de DAO, centre de coordination des formations en langue bretonne.

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Article de Philippe Créhange publié sur letelegramme.fr

L’influence méconnue de la langue bretonne sur le français

L’influence méconnue de la langue bretonne sur le français

L’influence des langues étrangères sur le français est considérable. Outre le latin, le grec, et l’ancien italien qui alimentent les bases linguistiques francophones, s’y adjoignent, entre autres, des emprunts arabes, anglais, allemands, espagnols… mais aussi bretons…

Il existe quelques rares pays multilinguistes, c’est à dire possédant plusieurs langues officielles. Citons le Canada, pour l’essentiel anglophone mais aussi francophone dans sa province québécoise ; la Belgique, néerlandaise en Flandre et francophone en Wallonie ; également Israël où l’arabe et l’hébreu se partagent le titre d’idiomes nationaux ; mais ces pays dont le pouvoir central publie les lois en plusieurs langues, restent l’exception qui confirme la règle selon laquelle une langue reconnue comme telle coïncide presque toujours avec un état constitué.

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Article de Jérôme Enez-Vriad publié sur bretagne-actuelle.com

« Mister Breizh », la web-série qui va vous aider à parler breton

« Mister Breizh », la web-série qui va vous aider à parler breton

Vous partez en vacances en Bretagne mais ne connaissez pas un mot de breton ? Pas de panique, Mister Breizh est là pour vous instruire.

« Crêpes », « beurre », « au revoir »… Vous les utilisez tous les jours en français, mais ne savez pas les traduire en breton. Pour pallier vos lacunes en la matière, la Ville de Quimper a créé une web-série intitulée « Mister Breizh ». En moins de trois minutes, ce personnage, incarné par le comédien Riwal Kermarrec, vous propose de découvrir la richesse de la langue bretonne.

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Article de Baptiste Galmiche publié sur france3bretagne

C’est la Bretagne qu’on assassine en francisant ses noms de rues

C’est la Bretagne qu’on assassine en francisant ses noms de rues

Les premières « rectifications » de nom de rues remontent à 1789. Elles se poursuivent incessamment depuis. Comme si la culture bretonne n’avait jamais existé. Comme si nous n’avions pas suffisamment de grands personnages locaux pour baptiser nos voies et chaussées. Comme si la mondialisation justifiait de s’y soumettre.

La manipulation patronymique est une spécialité française qui, pour l’essentiel, remonte à la Révolution. On se souviendra effectivement que les Bro Leon et Bro Gerne (Cornouaille) devinrent le Finistère ; que le Bro Sant-Malou, le Bro Zol et le Bro Roazhon se transformèrent en Ille–et-Vilaine ; notons encore le Bro Naoned devenu Loire-Inférieure avant d’évoluer en Loire-Atlantique ; et le Bro Gwened (Pays de Vannes) changé en Morbihan, seul département à recevoir un nom bretonnant ; enfin, plus proche de nous, les Côtes-du-Nord (nom tiré de la traduction littérale bretonne) furent requalifiées Côtes-d’Armor  le 27 février 1990 par la volonté d’un marketing touristique.

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Article de Jérôme Enez-Vriad publié sur le site bretagne-actuelle.com